This paper examines the role of postsecondary agricultural education and training (AET) in sub-Saharan Africa in the context of the region’s agricultural innovation systems. Specifically, the paper looks at how AET in sub-Saharan Africa can contribute to agricultural development by strengthening innovative capacity, or the ability of individuals and organisations to introduce new products and processes that are socially or economically relevant, particularly with respect to smallholder farmers who represent the largest group of agricultural producers in the region.
El documento trata sobre las áreas de cultivo de frijol y maíz en Centroamérica y República Dominicana. Se abarcan también aspectos relacionados con su consumo, rendimiento, producción, tipo de productores, factores socioeconómicos y se hace uso de estadísticas para brindar la información respectiva.
Este estudio de caso realizado para el Banco Mundial por la Cátedra Latinoamericana de Decisiones Ambientales para el Cambio Global (CLADA) del CATIE en colaboración con el Centro Latinoamericano para la Competitividad y el Desarrollo Sostenible (CLACDS) del INCAE Business School, tiene como objetivo el diseño y aplicación de una metodología para el análisis conjunto de los diferentes elementos del Crecimiento Verde e Inclusivo a nivel territorial, que sirva como insumo para un diálogo que permita llegar a acuerdos sobre prioridades de política y de acciones que promuevan actividades produc
América Latina, el Caribe y el mundo enfrentan una crisis que incluye, entre otras, dos dimensiones fundamentales: el dramático deterioro ambiental y la profunda debacle alimentaria. Dicha crisis se caracteriza por el acaparamiento, concentración y extranjerización de las tierras de los campesinos, de los indígenas originarios y de los afrodescendientes solo comparable con la que se dio durante la Colonia.
La presentación da una definición de agricultura familiar y sus características esenciales conjuntamente con una definición de extensionismo. Después, ésta habla sobra les avances del extensionismo en las políticas sectoriales y la incorporación de nuevos temas y actores en la agenda de extensionismo.
En esta comunicación se argumenta en torno a las ventajas de contar con una “Educación Intercultural sobre el Cambio Climático” como vía para empoderar a las comunidades locales. Se propone una metodología para la recuperación y valoración del estado de vitalidad/erosión intergeneracional de los conocimientos tradicionales sobre el cambio climático.
Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Aujourd’hui, l’agriculture familiale fait preuve de dynamisme. Pour prouver qu’elle est un modèle à défendre, il faut convaincre les États de mener des politiques volontaristes et souveraines de rénovation de l’agriculture. Une politique efficace devra identifier les forces et les faiblesses de l’agriculture familiale, lutter contre l’accaparement des terres, encourager les jeunes paysans et les paysannes. Prendre en compte les différentes dimensions de l’agriculture familiale est nécessaire pour mener à une transformation efficace.
« Le riz, c’est la vie ».
Telle était la devise choisie, en 2004, par l’Organisation mondiale pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) afin de célébrer l’année internationale du riz. Nul qualificatif ne peut en effet mieux décrire le rôle stratégique joué par ce petit grain. Qu’il soit blanc, jaune, rouge, violet, gluant, consommé en grains, en pâte, en soupe, ou en dessert, le riz constitue un enjeu de taille pour la sécurité et la souveraineté alimentaires des pays en développement.