Cet article présente les résultats clés tirés de l’analyse transversale de 13 expériences d’innovation agricole menées au Bénin, au Kenya et en Afrique du Sud. L’évaluation a utilisé un cadre analytique commun inspiré de l’approche systèmes d’innovation pour comprendre comment l’innovation a évolué au fil du temps via les interactions entre différents acteurs et sous l’effet d’éléments déclencheurs et moteurs internes et externes.
La co-conception de systèmes agricoles innovants est une piste prometteuse pour répondre au défi de l’innovation, notamment pour les exploitations agricoles familiales africaines confrontées à de multiples changements. Mais il faut penser à la place et aux rôles tenus par de multiples acteurs (agriculteurs, conseillers, chercheurs) pour produire les changements souhaités par toutes les parties, et donc réfléchir à la question du partenariat dans le processus.
L’agronomie s’interroge sur la façon de co-développer de nouvelles propositions techniques et organisationnelles pour améliorer la production et le niveau de vie des populations. La Recherche-Action en Partenariat (RAP) est une démarche de recherche qui associe les acteurs locaux à la construction d’innovations. Le caractère imprévisible des stratégies des acteurs et la nécessité d’atteindre les objectifs de la RAP incitent les chercheurs à mettre en place des dispositifs adaptés à la situation locale.
L’intégration de la conservation de la biodiversité à un développement durable est ici analysée pour la gestion de la zone tampon de la Réserve de biosphère du Parc du W. Trois gestions intentionnelles sont avancées pour anticiper une transition agraire et paysagère. Chacune d’elles s’appuie sur des capacités qui leur sont propres. Une gestion intégrée de type agro forestière est recommandée.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.
LenCD has prepared a joint statement on results and capacity development (presented in this publication), which stresses that meaningful, sustainable results are premised on proper investments in capacity development and that these results materialize at different levels and at different times, along countries’ development trajectory. To provide evidence in support of this statement, LenCD launched a call for submission of stories.
Resulta indispensable discutir los contenidos y las metodologías utilizadas para formar extensionistas, muchas veces focalizadas exclusivamente en conocimientos técnicos e implementadas según una lógica transferencista. Así, en este trabajo, a través de la realización de entrevistas, se analizan las necesidades formativas de los extensionistas rurales paraguayos indagando su función, los problemas a los que se enfrentan en su práctica y sus propios intereses formativos.
El presente documento fue elaborado en el Marco del Proyecto “Fortalecimiento de la gestión de recursos hídricos y sistemas de riego para productores de la agricultura familiar del Chaco de Paraguay, Argentina y Bolivia”, financiado con recursos del Fondo de Cooperación Técnica (FonCT) del IICA, incluye Fichas Descriptivas de seis aspectos tecnológicos (temáticos) que son de interés para efectos de difusión y transferencia tecnológica, en manejo de agua y riegos en la región del Chaco compartida por: Argentina, Bolivia y Paraguay.
En esta publicación, el IICA recopila las principales características de los servicios de extensión rural de nueve países latinoamericanos, presentadas en la cita efectuada en México, así como un repaso por dos redes regionales de investigación en esta área. Con este documento, el Instituto confía en aportar a sus Estados Miembros una herramienta valiosa para fortalecer el trabajo realizado por sus propias instituciones y extensionistas.
Hoy en día, los saberes locales y las prácticas ancestrales de producción agropecuaria, cobran una singular relevancia; por cu además de permitir la vida de los pueblos originarios y poblaciones rurales tradicionales, han demostrado ser claves para pre ambiente y los recursos naturales; la biodiversidad y los hábitats de especies terrestres y acuáticas, en equilibrio con el entorno. En Paraguay, existe un pleno consenso en que estos saberes tienen su origen y difusión en los conocimientos adquiridos de generación en generación, basados en la cultura de los pueblos guaraníes.