À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Descendu des hauts plateaux andins pour arriver dans nos assiettes, le quinoa est entré dans le jeu économique où l’offre, la demande et le prix forment un cadre triangulaire aux paradoxes multiples.
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
En 1995, SOS Faim entamait une première collaboration avec la coopérative La Florida dans la ‘Selva Central’, forêt semi-tropicale du centre du Pérou. Cette coopérative de petits producteurs de café sortait d’une grave crise suite à la présence importante du mouvement Sentier Lumineux dans la région : plusieurs dirigeants avaient été assassinés et les infrastructures détruites. En phase de redynamisation, elle recherchait une garantie pour obtenir un crédit auprès d’une banque locale pour collecter la production de ses membres et la commercialiser de manière groupée.
The Policy Compendium for Rural Advisory Services (RAS) is a tool that contributes to filling the gap between the rural advisory services (RAS) policy environment and RAS efforts in the field. It helps direct decisions and facilitate successful policy processes and outcomes in extension and advisory services by making knowledge accessible, fostering synergies and promoting policy processes to improve RAS and rural development. It has two purposes.
Extension and advisory services (EAS) play a key role in facilitating innovation for sustainable agricultural development. To strengthen this role, appropriate investment and conducive policies are needed in EAS, guided by evidence. It is therefore essential to examine EAS characteristics and performance in the context of modern, pluralistic and increasingly digital EAS systems. In response to this need, the Food and Agriculture Organization of the United Nations (FAO) has developed guidelines and instruments for the systematic assessment of national EAS systems.
Extension and advisory services (EAS) play a key role in facilitating innovation processes, empowering marginalized groups through capacity development, and linking farmers with markets. EAS are increasingly provided by a range of actors and funded from diverse sources. With the broadened scope of EAS and the growing complexity of the system, the quantitative performance indicators used in the past (for example related to investment, staffing or productivity) are no longer adequate to assess the performance of EAS systems.
Extension and advisory services (EAS) play a key role in facilitating innovation processes, empowering marginalized groups through capacity development, and linking farmers with markets. Advisory services are increasingly provided by a range of actors and funded from diverse sources. With the broadened scope of EAS and the growing complexity of the system, the quantitative performance indicators used in the past (e.g. related to investment, staffing or productivity) are not adequate anymore to understand whether the system is well-functioning.