Agricultural extension in the Global South can benefit greatly from the use of modern information and communication technologies (ICT). Yet, despite two decades of promising experiences, this potential is not fully realized. Here, it is reviewed the relevant research literature to inform future investments into agricultural information services that harness the full potential of digital media.The study describes a recently emerging innovation agenda that is, in part, a response to the eventualfailure of many new agro-advisory initiatives.
L’alimentation en eau et la protection des milieux aquatiques sont confrontées aux pollutions diffuses d’origine agricole dans le nord-ouest de la France. Les politiques de gestion des ressources en eau s’appuient à présent sur la participation des agriculteurs afin de concevoir des solutions adaptées aux territoires. En effet, si la réglementation est nécessaire, elle n’est pas suffisante pour atteindre une qualité satisfaisante sur de nombreux bassins versants fortement pollués par les nitrates, le phosphore ou les produits phytosanitaires.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
The objective of the study was to identify a viable trade-off between low data requirements and useful household-specific prioritizations of advisory messages. At three sites in Ethiopia, Kenya, and Tanzania independently, we collected experimental preference rankings from smallholder farmers for receiving information about different agricultural and livelihood practices. At each site, was identified socio-economic household variables that improved model-based predictions of individual farmers’ information preferences.
Sustainable intensification (SI) is promoted as a rural development paradigm for sub-Saharan Africa. Achieving SI requires smallholder farmers to have access toinformation that is context-specific, increases their decision-making capacities, andadapts to changing environments. Current extension services often struggle toaddress these needs. New mobile phone-based services can help.
This policy brief shows how digital tools can help to ensure that public money for agricul-tural extension is spent wisely. Governments often fund offices, training centers, and the salaries of extension officers, but cannot eas-ily review the impacts of these expenditures. This is because the activities of extension agents are not monitored systematically. Ex-ension services rarely generate quantitative data on the effects of their work.
Smallholder farmers across the Global South increasingly need to adapt their farming activities to fast-paced changes, for example, in climate, policy and markets. In many places, public and private agricultural extension services support technological change through trainings and the dissemination of information. The effectiveness of extant ex-tension (advisory) methodologies is, however, challenged by the difficulty of reaching a large and growing clientele with highly diverse information needs.
Rapid climatic and socio-economic changes challenge current agricultural R&D capacity. The necessary quantum leap in knowledge generation should build on the innovation capacity of farmers themselves. A novel citizen science methodology, triadic comparisons of technologies or tricot, was implemented in pilot studies in India, East Africa, and Central America. The methodology involves distributing a pool of agricultural technologies in different combinations of three to individual farmers who observe these technologies under farm conditions and compare their performance.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.