El objetivo de esta tesis será analizar desde la perspectiva de los productores agrarios, su relación con la innovación y los servicios intensivos en conocimiento, promovidos por el Sistema Agrario de Conocimiento e Innovación (AKIS), en la Comunitat Valenciana. A lo largo de los capítulos de desarrollo, se propone evaluar la relación entre los factores clave del comportamiento innovador de los productores (orientación al mercado, orientación al aprendizaje, actitud innovadora), la percepción del desempeño de su explotación, y la valoración de los servicios de investigación y extensión.
This book discusses innovation problems and opportunities for family farming in the different regions of the American continent, as well as the role of hemispheric, regional and national agrifood research systems. Likewise, it provides a description of the main innovation actions and projects promoted by IICA, and the main success cases over recent years.
En este artículo se presenta brevemente un panorama de las principales áreas temáticas abordadas en 14 encuentros realizados por la Asociación Latino-Iberoamericana de Gestión Tecnológica (ALTEC). Ester encuentros constituyen en uno de los espacios más importantes en esta región para la discusión de la investigación en la disciplina de la gestión de la innovación y la tecnología esa asociación desde 1985 hasta el año 2011.
El objetivo de esta guía es proponer una metodología para la “evaluación de la sostenibilidad de los sistemas de producción de la agricultura familiar”, a través de “indicadores de sostenibilidad”. Con ellos se busca detectar “puntos críticos” en los sistemas de producción que limitan su sostenibilidad, de forma tal que se pueda iniciar un proceso de elaboración de “estrategias de gestión sostenible” enfocado al fortalecimiento de la agricultura familiar y al desarrollo de los territorios rurales en los que se desenvuelven.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Descendu des hauts plateaux andins pour arriver dans nos assiettes, le quinoa est entré dans le jeu économique où l’offre, la demande et le prix forment un cadre triangulaire aux paradoxes multiples.
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
En 1995, SOS Faim entamait une première collaboration avec la coopérative La Florida dans la ‘Selva Central’, forêt semi-tropicale du centre du Pérou. Cette coopérative de petits producteurs de café sortait d’une grave crise suite à la présence importante du mouvement Sentier Lumineux dans la région : plusieurs dirigeants avaient été assassinés et les infrastructures détruites. En phase de redynamisation, elle recherchait une garantie pour obtenir un crédit auprès d’une banque locale pour collecter la production de ses membres et la commercialiser de manière groupée.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.