Les enjeux liés au changement climatique et à la sécurité alimentaire confortent la nécessité de mettre au point des démarches de conception/évaluation de systèmes durables, qu’il s’agisse d’améliorer les situations existantes ou d’imaginer de nouvelles voies de développement. En régions chaudes, l’élevage remplit aussi des fonctions non productives et doit s’adapter aux aléas et incertitudes.
Ce manuel illustre une méthode pour l’évaluation des projets de développement agricole, tout en expliquant:
- Ce qu’il faut mesurer;
- Comment mesurer l’impact des projets: quelles méthodes sont employées;
- L’évaluation systémique d’impact;
- L’évaluation systémique d’impact à l’épreuve des faits.
Esta Política de Estado se sustenta en cuatro ejes temáticos, que hemos convenido en llamar los pilares de la política: a) competitividad; b) innovación y desarrollo tecnológico; c) gestión de los territorios rurales y agricultura familiar; y d) cambio climático y gestión agroambiental. Se adiciona un eje transversal, que indica los principales alineamientos institucionales que se implementarán para hacerla realidad.
This report is based on the outputs of a one week Exposure and Exchange Programme (EEP) in India hosted by the Self-employed Women’s Association (SEWA) with African women leaders of producer organizations from West and Central Africa. This report critically evaluates the SEWA model and draws conclusions relevant to African women producers organizations to better meet the challenges of raising Africa’s agricultural potential, improve incomes for small farmers, and ensure greater food security.
The purpose of this paper is to summarize the challenges and the practical successes that a selected number of countries are experiencing in moving towards 'climate-smart' agriculture while also meeting the food requirements of a growing population, broader economic development and green growth objectives. It complements papers prepared in 2010 on technologies and policy instruments, research, and farmers' perspectives.
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.