As a key pillar of the Ugandan economy, the agriculture sector is a critical driver of economic growth and poverty alleviation. Uganda's agricultural sector is dominated by smallholders with low levels of productivity. The agriculture sector is highly exposed to co-variant risks, which include weather, biological, infrastructure (post-harvest loss), price, and market risks. This plethora of risks suppresses appetite for investment in the sector. Despite the sector's contribution to the economy, farmers' access to finance remains a major constraint.
Rural Advisory Services (RAS) are increasingly recognised as critical to agricultural and rural development. They provide rural communities with wide range of skills and knowledge and facilitate their interactions among the different actors to help them access support and services required for improving their livelihoods. Family Farmers are one of the important clients of RAS as they are the most predominant type of farmers worldwide.
The paper is one of a series of research papers that are designed to timely disseminate research and policy analytical outputs generated by the USAID funded Feed the Future Innovation Lab for Food Security Policy (FSP) and its Associate Awards. The FSP project is managed by the Food Security Group of the Department of Agricultural, Food, and Resource Economics at Michigan State University (MSU), and implemented in partnership with the International Food Policy Research Institute (IFPRI) and the University of Pretoria (UP).
Este documento trata de estrategias de adaptación de los pequeños agricultores para enfrentar el cambio climático.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Au niveau familial, l’émigration constitue souvent une recherche de revenus, de sécurité, mais aussi une manière de faire face à des problèmes socio-politiques et des conflits. A l’encontre des clichés, l’émigration n’est pas forcément défavorable à l’agriculture familiale.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Le président Macky Sall veut mettre en pratique une série de réformes inclusives qui permettraient au Sénégal d’allier à la fois les « bienfaits de l’agrobusiness » et de l’agriculture paysanne. La balle est dans le camp des sociétés civiles et des organisations paysannes qui doivent saisir la chance d’orienter les politiques agricoles de leur pays. Si elles manquent cette opportunité, le gouvernement sénégalais risque de favoriser l’agrobusiness classique.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.