Du 24 au 26 novembre 2020, s’est tenu à Ségou au Mali, l’atelier des acteurs régionaux pour le développement du profil de risque climatique de la région de Ségou. L’atelier a été organisé dans le cadre du projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest », financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le CCAFS au Mali, Niger et Sénégal en partenariat avec les instituts de recherches agricoles nationaux (IER, INRAN, ISRA).
L’utilisation des services hydrométéorologiques et climatiques (SHMCs) constitue une opportunité pour le Mali dans ses efforts visant à réduire la pauvreté, renforcer la résilience et s’adapter au changement climatique. En effet, les SHMCs permettent de protéger les populations contre les risques climatiques à court terme ou à évolution rapide (inondations et tempêtes) et à long terme ou à évolution lente (p. ex. sécheresses et changement climatique durable).
L’An deux mille vingt du 15 au 16 décembre 2020 s’est tenu à Bobo Dioulasso au Centre Agricole Polyvalent de Matourkou un séminaire académique sur le thème : Rôles des services de vulgarisation agro-sylvo-pastorales dans la mise à échelle des Pratiques climatointelligentes. Ce séminaire est Co-organisé par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l’Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA), World Agroforestry (ICRAF) et le Centre Agricole Polyvalent de Matourkou (CAP). La rencontre s’est tenue dans l’amphithéâtre 540 du CAP Matourkou.
Ce manuel illustre le changement climatique et ses impacts sur l’agriculture au Sénégal.
USAID/CINSERE (Services d’information climatiques pour améliorer la résilience et la productivité au Sénégal) est un projet de 4 ans qui vise à renforcer les capacités nationales pour la production, l’accès et la diffusion efficiente d’informations météorologiques et climatiques (IMC) et à développer des stratégies pour une mise à l’échelle durable de l’utilisation des services d’information météorologiques et climatiques (SIC) sur toute l’étendue du territoire sénégalais.
Many smallholder farmers in developing countries grow multiple crop species on their farms, maintaining de facto crop diversity. Rarely do agricultural development strategies consider this crop diversity as an entry point for fostering agricultural innovation. This paper presents a case study, from an agricultural research-for-development project in northern Ghana, which examines the relationship between crop diversity and self-consumption of food crops, and cash income from crops sold by smallholder farmers in the target areas.
This study uses 344 women and men survey respondents involved in conservation agriculture (CA) and small-scale irrigation schemes (SSIS) as data sources for examining the effect of gendered constraints for adopting climate-smart agriculture amongst women in three areas in Ethiopia. Qualitative and quantitative data collections were applied using survey, in-depth interviews and focus group discussions. Quantitative data were analyzed using descriptive statistics, Pearson's chi-square test and binary logistic regression using statistical software for the social sciences (SPSS) version 24.
Agriculture remains the mainstay of Indian economy and major source of livelihood of rural household, predominantly by small and marginal farmers, and securing the food and nutritional security. This paper describes the reality of small and marginal farmers in India. These farmers face several problems of credit, input supply, proper linkage with market as so on. Women farmers are lagging behind in adopting the drudgery reduction technologies followed by health and nutrition of farm families.
Relying on cross-sectional data from 300 smallholder rice farmers, the study examined the effects of agricultural extension on improved rice variety adoption and farm income in northern Ghana. A recursive bivariate probit (RBP) model was used to assess the effect of agricultural extension on adoption while regression with endogenous treatment effect model (RETEM) was adopted to evaluate the effect of agricultural extension on farm income. The results indicate a statistically significant effect of agricultural extension on both adoption and farm income.
Agricultural mechanization in developing countries has taken at least two contested innovation pathways—the “incumbent trajectory” that promotes industrial agriculture, and an “alternative pathway” that supports small-scale mechanization for sustainable development of hillside farming systems.