In 2014-2016, Katalyst project and the Bangladesh Crop Protection Association (BCPA) extended their work by training farmers, women, retailers and pesticide spray men on the safe and judicious use of pesticides (SUP). This initiative improved the ability of farmers to select the right types of pesticide, and to use them appropriately with the correct dosage.
Katalyst project has been facilitating awareness raising on the importance of balanced fertiliser application in Bangladesh since 2006.
Earlier high-value Tilapia, Koi and Pangus fry are mostly bought by lead farmers only while small farmers use low-yielding local species. A breakthrough was reached during Phase 2 of the Katalyst project, when hatcheries started marketing high-yielding fish fingerlings to small farmers. The promotion included pond management and cultivation improvements that further increased farmers’ productivity.
The ‘Licensing Fish Brood Import’ mini case study shows how Katalyst facilitated the linkage between local hatcheries and international brood sources and together with the Department of Fisheries established a standard operational procedure for brood import
Often, farmers excessively use chemical pesticides with detrimental effects on environmental and human health.The ‘Commercialising Bio-Pesticides in Bangladesh’ mini case study explains how the Katalyst project and private sector partner Ispahani Agro Ltd. formulated a policy recommendation on the amendment of the 1985 Pesticide Act to make the proper registration and marketing of “Bio-Pesticides” possible, allowing companies to market and distribute IPM products to a mass audience.
Building on this potential, Katalyst’s Women’s Economic Empowement (WEE) sector designed an intervention to provide training in modern prawn cultivation techniques and input and create linkages between feed and aqua-chemical companies with women prawn farmers of the Jessore-Khulna Bagerhat Satkhira Narail belt. Through this intervention, 22,170 women farmers have improved access to quality inputs and relevant know-how.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.