Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
El presente documento recoge una buena cantidad de insumos que informan sobre los procesos que están dirigiendo el desarrollo tecnológico de la cadena, se describen las temáticas y las tecnologías que cada actor o actores así como la agenda que están impulsando. Además, se identifican las áreas líderes hacia donde se está enfatizando y/o orientando la promoción de la innovación, temas comunes, posibilidades de cooperación y vacios temáticos.
El presente estudio es una herramienta técnica para orientar los esfuerzos de las redes nacionales de innovación tecnológica en Honduras, y tiene como objetivo identificar la problemática y la agenda para la innovación tecnológica de los actores de la cadena de maíz en el país.
Jardins partagés, potagers sur les toits, fermes pédagogiques… L’agriculture urbaine est plurielle. C’est aussi vrai pour les fonctions qu’elle joue. Découvrez-en plus dans l’article d’Anne-Laure sur le concept d’agriculture urbaine et ses différentes fonctions mais aussi ses chiffres clés en infographie (p.4-5) Les crises semblent être propices au développement de cette forme d’agriculture. Joana revient sur des initiatives portées en temps de crise au Royaume-Uni, à Cuba ou encore à Lisbonne.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
Colombia produce más azúcar por mes en una hectárea de tierra que cualquier otro país. El privilegio se debe a la productividad de la caña de azúcar cultivada en el valle del río Cauca, donde 14 plantas procesadoras operan casi todo el año para producir azúcares, mieles, bioetanol y energía eléctrica. La caña es suministrada por 2750 proveedores, propietarios del 75 por ciento de las 240 000 hectáreas sembradas, y por los mismos ingenios o centrales azucareras (25 por ciento del área).
La presente publicación constituye una contribución para visualizar un modelo conceptual por el cual los segmentos de población urgidos de acceso a oportunidades de desarrollo, sustentabilidad e inclusión social en los territorios rurales de la america latina y del caribe, se beneficiarían con una o varias soluciones de innovación en la cadena de valor de bioqueroseno.
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.