This paper draws lessons from selected country experiences of adaptation and innovation in pursuit of food security goals.
Small-scale farmers' experimental innovations have not generally been considered for on-farm research trials as those in the traditional sector have been perceived as recipients, rather than originators, of technical knowledge and sustainable and viable practices. Yet there is abundant evidence throughout the tropics that small-scale farmers are adaptive and experimental problem solvers, and experts at devising innovative survival strategies. While literature on the topic is rich with accounts from Africa, Asia and Latin America, there is a general dearth of examples from the Caribbean.
This book is the re-titled third edition of the widely used Agricultural Extension (van den Ban & Hawkins, 1988, 1996). Building on the previous editions,Communication for Rural Innovation maintains and adapts the insights and conceptual models of value today, while reflecting many new ideas, angles and modes of thinking concerning how agricultural extension is taught and carried through today.
Rural advisory services (RAS) can play an important role in addressing gender inequalities. However, RAS programmes have often fallen short of expectations to design and implement relevant services to help rural women and men achieve food security and generate more income. This paper is based on an examination of a broad selection of existing literature on gender-sensitive RAS. It looks at gender-differentiated barriers in access to RAS and challenges of effectively targeting women family farmers when delivering these services.
L’agriculture est un secteur économique et social vital pour la région Proche-Orient et Afrique du Nord, où elle représente en moyenne 14 pour cent du PIB (chiffre excluant les pays riches producteurs de pétrole) et fournit des emplois et des revenus à 38 pour cent de la population économiquement active. La petite agriculture représente plus de 80 pour cent de la production agricole et contribue de manière déterminante à la sécurité alimentaire, à la lutte contre la pauvreté et à la gestion durable des ressources naturelles.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
Las presentes Directrices voluntarias para lograr la sostenibilidad de la pesca en pequeña escala en el contexto de la seguridad alimentaria y la erradicación de la pobreza se han elaborado como complemento del Código de Conducta de la FAO para la Pesca Responsable (en adelante, el Código) de 1995. Se formularon a fin de proporcionar orientación complementaria respecto de la pesca en pequeña escala en apoyo de los principios y disposiciones generales del Código.
L’agriculture familiale est de loin la forme d’agriculture la plus répandue au monde, tant dans les pays développés que dans les pays en développement. Elle représente la principale source d’emplois dans le monde. C’est bien plus qu’une simple modalité de production alimentaire. C’est un mode de vie.
La FAO a adopté une approche multidimensionnelle pour aider les exploitants familiaux pauvres à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et renforcer leur capacité de création de revenus, afin de réduire la pauvreté rurale.
The Progress towards Sustainable Agriculture initiative (PROSA) is a framework that seeks to complement ongoing efforts on the Sustainable Development Goals (SDGs), and particularly indicator 2.4.1, to support country-level assessments using data already available at the national level. Making agriculture more sustainable – productive, environmentally friendly, resilient and profitable is fundamental, as agriculture remains the main source of livelihood for the majority of the world’s poor and hungry.