A worthy agricultural innovation system (AIS) is one that that helps an agricultural sector be productive, sustainable and resilient and facilitates reduction in poverty and malnutrition. How can an AIS be made resilient in the context of the COVID-19 pandemic is a question pondered in this note. The key issue will be continued strong investment in knowledge and technology creation that underpins growth in productivity and the active pursuit of mechanisms that make agriculture more resilient to the emerging environments challenges around the world.
Today, technological global agri-food economies dominated by vertically integrated large enterprises are failing in meeting the challenge of feeding a growing global population within the limits of the “Planetary Boundaries”, and are characterised by a “triple fracture” between agri-food economies and their three constitutive elements: nature, consumers, and producers. In parallel to this crisis, new eco-ethical-driven agri-food economies are built around new farming and food distribution practices to face the challenge of food system transition to sustainability.
Social farming (SF) has emerged as a social innovation practice shaping heterogeneous approaches and results. This study discusses the complexity of SF policy and practices, and it is led by the main hypothesis that the relationship between agricultural and social dimensions might be very heterogeneous, not only in different national contexts but also within the same national and local level. SF policy and practices are investigated testing the hypothesis of three main different modalities of interaction according to how the social and the agricultural perspectives interact.
The quest for innovation lies at the heart of European rural development policy and is integral to the Europe 2020 strategy. While social innovation has become a cornerstone of increased competitiveness and the rural situation legitimizes public intervention to encourage innovation, the challenges of its effective evaluation are compounded by the higher ‘failure’ rate implied by many traditional performance measures.
This paper provides a chronology and overview of events and policy initiatives aimed at addressing irrigation sustainability issues in the San Joaquin River Basin (SJRB) of California. Although the SJRB was selected in this case study, many of the same resource management issues are being played out in arid, agricultural regions around the world.
L’An deux mille vingt du 15 au 16 décembre 2020 s’est tenu à Bobo Dioulasso au Centre Agricole Polyvalent de Matourkou un séminaire académique sur le thème : Rôles des services de vulgarisation agro-sylvo-pastorales dans la mise à échelle des Pratiques climatointelligentes. Ce séminaire est Co-organisé par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l’Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA), World Agroforestry (ICRAF) et le Centre Agricole Polyvalent de Matourkou (CAP). La rencontre s’est tenue dans l’amphithéâtre 540 du CAP Matourkou.
Ce manuel illustre le changement climatique et ses impacts sur l’agriculture au Sénégal.
USAID/CINSERE (Services d’information climatiques pour améliorer la résilience et la productivité au Sénégal) est un projet de 4 ans qui vise à renforcer les capacités nationales pour la production, l’accès et la diffusion efficiente d’informations météorologiques et climatiques (IMC) et à développer des stratégies pour une mise à l’échelle durable de l’utilisation des services d’information météorologiques et climatiques (SIC) sur toute l’étendue du territoire sénégalais.
Du 24 au 26 novembre 2020, s’est tenu à Ségou au Mali, l’atelier des acteurs régionaux pour le développement du profil de risque climatique de la région de Ségou. L’atelier a été organisé dans le cadre du projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest », financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le CCAFS au Mali, Niger et Sénégal en partenariat avec les instituts de recherches agricoles nationaux (IER, INRAN, ISRA).
L’utilisation des services hydrométéorologiques et climatiques (SHMCs) constitue une opportunité pour le Mali dans ses efforts visant à réduire la pauvreté, renforcer la résilience et s’adapter au changement climatique. En effet, les SHMCs permettent de protéger les populations contre les risques climatiques à court terme ou à évolution rapide (inondations et tempêtes) et à long terme ou à évolution lente (p. ex. sécheresses et changement climatique durable).