This guide is intended to assist facilitators in conducting a workshop with Extension and Advisory Service (EAS) providers for assessing their capacity needs. This guide has been compiled by the Centre for Research on Innovation and Science Policy (CRISP) for AESA with the assistance of a research grant from the Global Forum for Rural Advisory Services (GFRAS).
The new Constitution of Nepal (2015) has initiated federal, provincial, and local governments in Nepal, each bestowed with respective rights, responsibilities, power and authority. While developing the new mechanism of governance, the Constitution has given immense authority as well as responsibility to local governments, which is unprecedented and has never been experienced before in the history of Nepal. Along with the restructuring of the state, the institutional mechanism of the agriculture sector has also been restructured.
Undertaking Capacity Needs Assessment (CNA) is critical for organizing appropriate capacity development interventions. AESA organised four workshops on CNA of EAS in India, Sri Lanka, Bangladesh and Nepal with the following objectives.
1. Identify capacity gaps among EAS providers
2. Finalise a methodology for undertaking capacity needs assessment.
During the period 2013-2019, the Agricultural Extension in South Asia (AESA) Network has served as a platform for collating the voices, insights, concerns, and experiences of people in the extension sphere of South Asia. Diverse professionals shared their concerns on the present and future of Extension and Advisory Services (EAS) in the form of blog conversations for AESA. Together, all of these individuals who are involved, interested and passionate about EAS, discussed ways to move beyond some of the seemingly intransigent problems that are hindering the professionalization of EAS.
La nouvelle édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Au niveau familial, l’émigration constitue souvent une recherche de revenus, de sécurité, mais aussi une manière de faire face à des problèmes socio-politiques et des conflits. A l’encontre des clichés, l’émigration n’est pas forcément défavorable à l’agriculture familiale.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Le président Macky Sall veut mettre en pratique une série de réformes inclusives qui permettraient au Sénégal d’allier à la fois les « bienfaits de l’agrobusiness » et de l’agriculture paysanne. La balle est dans le camp des sociétés civiles et des organisations paysannes qui doivent saisir la chance d’orienter les politiques agricoles de leur pays. Si elles manquent cette opportunité, le gouvernement sénégalais risque de favoriser l’agrobusiness classique.