This paper draws lessons from selected country experiences of adaptation and innovation in pursuit of food security goals.
This paper addresses questions over the function and institutional arrangements of climate finance from an innovation systems perspective. It examines the barriers that prevent developing countries from transitioning to low-carbon and climate-resilient economies, and the interventions necessary to overcome those barriers. It finds that the barriers to innovation and economic change are much more pervasive than a lack of incentives.
There is an ongoing debate on what constitutes sustainable intensification of agriculture (SIA). In this paper, we propose that a paradigm for sustainable intensification can be defined and translated into an operational framework for agricultural development. We argue that this paradigm must now be defined—at all scales—in the context of rapidly rising global environmental changes in the Anthropocene, while focusing on eradicating poverty and hunger and contributing to human wellbeing.
As calls for bolstering environmental services on croplands have grown more insistent during the past two decades, the search for ways to foster sustainable, reduced input agriculture has become more urgent. In this context authors re-examine by means of a meta-analysis the argument, first proposed by Robert McC. Netting, that small scale, mixed crop – livestock farming, a common livelihood among poor rural peoples, encourages environmentally sustainable agricultural practices.
One of the most important challenges for the researchers in the 21st Century is related to global heating and climate change that can have as consequence the intensification of natural hazards. Another problem of changes in the Earth's climate is its impact in the agriculture production. In this scenario, application of statistical models as well as development of new methods become very important to aid in the analyses of climate from ground-based stations and outputs of forecasting models. Additionally, remote sensing images have been used to improve the monitoring of crop yields.
Les enjeux liés au changement climatique et à la sécurité alimentaire confortent la nécessité de mettre au point des démarches de conception/évaluation de systèmes durables, qu’il s’agisse d’améliorer les situations existantes ou d’imaginer de nouvelles voies de développement. En régions chaudes, l’élevage remplit aussi des fonctions non productives et doit s’adapter aux aléas et incertitudes.
Cet article défend l'idée que les petites exploitations agricoles doivent être placées au cœur du processus de développement, principalement dans les pays du Sud, notamment parce que la moitié des populations qui, dans le monde, souffrent de la faim, habitent des zones rurales et disposent de moins de 2 hectares, et parce que près de 2 milliards d'êtres humains dépendent de l'agriculture familiale. L'auteur, éminent représentant de la FAO, préconise l'insertion de la petite exploitation dans les circuits agro-industriels.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.