This paper draws lessons from selected country experiences of adaptation and innovation in pursuit of food security goals.
Many experts believe that low-cost mitigation opportunities in agriculture are abundant and comparable in scale to those found in the energy sector. They are mostly located in developing countries and have to do with how land is used. By investing in projects under the Clean Development Mechanism (CDM), countries can tap these opportunities to meet their own Kyoto Protocol obligations. The CDM has been successful in financing some types of agricultural projects, including projects that capture methane or use agricultural by-products as an energy source.
In Ethiopia, village surveys were conducted in six villages and two expert workshops were organized to discuss the organization of the study and to evaluate the draft results. Based on household surveys, focus group discussions, and institutional stakeholder interviews, we assessed household vulnerability, analyzed the strategies households adopt to reduce the hazards faced, and evaluated the assistance households receive from institutions. Vulnerability profiles were formulated, which show that household vulnerability differs substantially among and within villages.
This summary is a condensed version of the June 2011 Agriculture and Climate Change: A Scoping Report developed by a team of expert authors, in consultation with UN Framework Convention on Climate Change (UNFCCC) negotiators and other key stakeholders, and facilitated by Meridian Institute. The aim of that report was to provide independent, objective analysis on many complex issues related to agriculture and climate change. This summary provides key points for policymakers, focusing on the unique aspects of agriculture when considered in the context of climate change.
Les enjeux liés au changement climatique et à la sécurité alimentaire confortent la nécessité de mettre au point des démarches de conception/évaluation de systèmes durables, qu’il s’agisse d’améliorer les situations existantes ou d’imaginer de nouvelles voies de développement. En régions chaudes, l’élevage remplit aussi des fonctions non productives et doit s’adapter aux aléas et incertitudes.
Cet article défend l'idée que les petites exploitations agricoles doivent être placées au cœur du processus de développement, principalement dans les pays du Sud, notamment parce que la moitié des populations qui, dans le monde, souffrent de la faim, habitent des zones rurales et disposent de moins de 2 hectares, et parce que près de 2 milliards d'êtres humains dépendent de l'agriculture familiale. L'auteur, éminent représentant de la FAO, préconise l'insertion de la petite exploitation dans les circuits agro-industriels.
Esta Política de Estado se sustenta en cuatro ejes temáticos, que hemos convenido en llamar los pilares de la política: a) competitividad; b) innovación y desarrollo tecnológico; c) gestión de los territorios rurales y agricultura familiar; y d) cambio climático y gestión agroambiental. Se adiciona un eje transversal, que indica los principales alineamientos institucionales que se implementarán para hacerla realidad.
Les échanges commerciaux sur le marché mondial s’accélèrent. On constate l’émergence de nouveaux acteurs ainsi que l’intensification des rapports Sud-Sud. Ces caractéristiques peuvent-elles modifier la face de la mondialisation et ouvrir de nouvelles formes de négociation aux filières agricoles du Sud ? Les ONG et autres associations à but non lucratif ne seraient en tous les cas plus les seules à défendre la durabilité et l’agriculture familiale. Mais alors, quel est le rôle de ces ONG ?
L’agroécologie est multidimensionnelle, car elle correspond à la fois à une discipline scientifique, à un ensemble de pratiques et à un mouvement social de contestation. Mais il serait erroné d’affirmer que tous les avis sont unanimes à propos de l’agroécologie. Ce dossier croise les analyses de plusieurs experts, d’acteurs du Sud et du Nord, concernés pas cette agriculture à la fois ancienne et nouvelle, qui a l’ambition d’apporter de vraies solutions pour l’avenir de la planète.
Source majeure d’alimentation pour une grande partie de l’humanité, les céréales étaient au coeur de la crise alimentaire en 2008. Elles sont de nouveau en première ligne. Aujourd’hui, les changements de modes de consommation des pays émergents, ainsi que la demande artificielle en agrocarburants, accentuent les problèmes liés à l’offre de céréales.