Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
The project “Strengthening Community Resilience to Change: Combining Local Innovative Capacity with Scientific Research” (CLIC–SR), supported by the Rockefeller Foundation, was completed on 31 August 2016. During the four years since 2012, the Prolinnova Country Platforms in Ethiopia, Kenya, Tanzania and Uganda made large strides in:
The CLIC–SR project started on 1 September 2012, ended on 31 August 2016, and was implemented in four countries: Ethiopia, Kenya, Tanzania and Uganda. This report covers the work done in the final project period: January–August 2016. The report adds a chapter that reviews the achievements of the project over the full project cycle. The report from an independent external evaluation was a major source of information for this final chapter.
This evaluation report discusses the findings, conclusions and recommendations on the project “Strengthening Community Resilience to Change: Combining Local Innovative Capacity with Scientific Research (CLIC-SR)” under the umbrella of the network Promoting Local Innovation in ecologically oriented agriculture and NRM (PROLINNOVA). This project was implemented in four Eastern African countries, namely Ethiopia, Kenya, Tanzania and Uganda.
This study aims to achieve a better understanding of the agricultural risk and risk management situation in Tanzania with a view to identifying key solutions to reduce current gross domestic product (GDP) growth volatility. For the purpose of this assessment, risk is defined as the probability that an uncertain event will occur that can potentially produce losses to participants along the supply chain.
The working paper presents a new toolkit for the implementation of a participatory vulnerability assessment (PVA) in rural localities, by introducing the methodology, as well as the findings, from a pilot study in Sokoine (Zepisa, Hombolo Ward) in Tanzania. It is based on a participatory methodological approach and follows a multidimensional conceptualisation of social vulnerability to climate change.
This paper comparatively analyzes the structure of agricultural policy development networks that connect organizations working on agricultural development, climate change and food security in fourteen smallholder farming communities across East Africa, West Africa and South Asia.