Nicaragua is the largest country in Central America, and agriculture is one of the engines of economic and social development. The agricultural sector contributes 16.1 percent of the Gross Domestic Product (GDP), 33 percent of formal employment and the food security of the population. There are 260 000 producers involved in agricultural production.
Nicaragua es el país más grande de América Central, y la agricultura es uno de los motores del desarrollo económico y social. El sector agrícola aporta el 16.1 por ciento del producto interno bruto (PIB), el 33 por ciento del empleo formal y la seguridad alimentaria de la población. Alrededor de la producción agropecuaria se integran 260 000 productores.
Local stakeholders and agricultural producers in Latin America have limited access to agroclimatic information and, when they do gain access to it, they have difficulty translating it into understandable and actionable knowledge. While climate services are recognized as contributing to bridging the gap between the generation of climate information and its use by stakeholders, their provision and use in Latin America still represents critical challenge.
Actores locales y productores agropecuarios en Latinoamérica tienen acceso limitado a la información agroclimática y, cuando logran acceder a ella, tienen dificultades para traducirla en conocimiento procesable y accionable. Si bien los servicios climáticos son reconocidos por contribuir a cerrar la brecha entre la generación de información climática y su uso por parte de las partes interesadas, su provisión y uso en Latinoamérica aún representa un desafío crítico.
La nouvelle édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie.
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie. En 2018 les agricultures familiales seront encore menacées.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Au niveau familial, l’émigration constitue souvent une recherche de revenus, de sécurité, mais aussi une manière de faire face à des problèmes socio-politiques et des conflits. A l’encontre des clichés, l’émigration n’est pas forcément défavorable à l’agriculture familiale.
Le président Macky Sall veut mettre en pratique une série de réformes inclusives qui permettraient au Sénégal d’allier à la fois les « bienfaits de l’agrobusiness » et de l’agriculture paysanne. La balle est dans le camp des sociétés civiles et des organisations paysannes qui doivent saisir la chance d’orienter les politiques agricoles de leur pays. Si elles manquent cette opportunité, le gouvernement sénégalais risque de favoriser l’agrobusiness classique.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.