This manual is a resource and toolbox for NGO practitioners and programme designers interested in diagnostic and action research for gender sensitive and socially inclusive climate change programmes in the rural development context. It is meant to be an easy to use manual, increasing the research capacity, skills and knowledge of its users. Integrating gender and social differentiation frameworks should ideally begin from the start of the programme cycle and be coordinated throughout research, design, implementation, and monitoring and evaluation phases.
This facilitation guide was developed to support the training of scientists who are members of the CCAFS Working Group on impact pathways and M&E for results-based management. The group attended a highly participatory introductory training from 1-5th April 2014 in Segovia, Spain. The objectives of the workshop were: 1. To introduce working group members to outcome thinking; 2. To present elements of the CCAFS theory of change (TOC), impact pathway (IP) and monitoring and evaluation (M&E) framework; 3.
The Climate Change and Social Learning (CCSL) Initiative is a cross-organisation group working to build a body of evidence on how social learning methodologies and approaches contribute towards development targets. Together with a select number of participating initiatives from a variety of organisations, we are working towards establishing a common monitoring and evaluation (M&E) framework for new projects and programmes using a social learning-oriented approach.
Este manual presenta una diversa gama de herramientas y estrategias participativas que guíen la implementación de la agricultura climáticamente inteligente y las iniciativas para lograr la seguridad alimentaria en las comunidades rurales. El público meta de esta obra son los profesionales de ONG y diseñadores de programas interesados en el diagnóstico y la investigación-acción sobre programas relacionados con el cambio climático socialmente incluyentes y sensibles al género.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Aujourd’hui, l’agriculture familiale fait preuve de dynamisme. Pour prouver qu’elle est un modèle à défendre, il faut convaincre les États de mener des politiques volontaristes et souveraines de rénovation de l’agriculture. Une politique efficace devra identifier les forces et les faiblesses de l’agriculture familiale, lutter contre l’accaparement des terres, encourager les jeunes paysans et les paysannes. Prendre en compte les différentes dimensions de l’agriculture familiale est nécessaire pour mener à une transformation efficace.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.
Communications and knowledge management are essential activities to help the CGIAR Research Program on Climate Change, Agriculture and Food Security (CCAFS) achieve its development outcomes. Strategic and complementary communication helps highlight success stories, support a change in behaviour in next-users while expanding the program’s reach. This in turn will help Flagships and regions follow impact pathways and reach outcomes. This is CCAFS Program Approach to Communication.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.