Presentation by David Neven, Senior Economist at FAO (Food and Agriculture Organization of the United Nations), for the Global Forum for innovations in agriculture (Abu Dhabi, 20-21 March 2017), an event to present solutions and inspire debate across all types of food production.
This report provides summary findings and conclusions from a set of five case studies examining the scaling up of pro-poor agricultural innovations through commercial pathways in developing countries.
This report highlights the great potential of the agribusiness sector in Africa by drawing on experience in Africa as well as other regions. The evidence demonstrates that good policies, a conducive business environment, and strategic support from governments can help agribusiness reach its potential. Africa is now at a crossroads, from which it can take concrete steps to realize its potential or continue to lose competitiveness, missing a major opportunity for increased growth, employment, and food security. The report pursues several lines of analysis.
This report describes the 2012 NAIS Assessment was piloted in 4 countries: Botswana, Ghana, Kenya and Zambia. Data were collected through a survey questionnaire, open-ended interview questions, and data mining of secondary sources. A team led by a national coordinator took charge of data collection from various partner organizations in each country.
Cette publication offre de nombreux exemples concrets détaillant différentes manières de réengager les jeunes dans le secteur agricole. Elle montre à quel point des programmes éducationnels sur mesure peuvent offrir aux jeunes les compétences et la perspicacité nécessaires pour se lancer en agriculture et adopter des méthodes de production respectueuses de l’environnement. Beaucoup des approches ou des initiatives décrites dans cette publication sont issues des jeunes eux-mêmes.
African agriculture is currently at a crossroads, at which persistent food shortages are compounded by threats from climate change. But, as this book argues, Africa can feed itself in a generation and help contribute to global food security. To achieve this Africa has to define agriculture as a force in economic growth by: advancing scientific and technological research; investing in infrastructure; fostering higher technical training; and creating regional markets.
La production et la commercialisation de lait en Afrique de l’Ouest fait partie intégrante de l’économie et du mode de vie des familles d’éleveurs ruraux. La filière présente des potentiels de croissance certains avec un cheptel important, un secteur de la transformation dynamique et des débouchés en forte augmentation du fait de la croissance démographique et de l’urbanisation. Cette filière lait local est cependant aux prises à de nombreuses difficultés internes qui limitent fortement son développement.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
The CGIAR Research Program on Aquatic Agricultural Systems (AAS) is a research in development program which aims to foster innovation to respond to community needs, and through networking and social learning to bring about development outcomes and impact at scale. It aims to reach the poorest and most vulnerable communities that are dependent upon aquatic agricultural systems. AAS uses monitoring and evaluation to track progress along identified impact pathways for accountability and learning.