Based on international literature, preliminary experiences in a three-country West African research programme, and on the disappointing impact of agricultural research on African farm innovation, the current paper argues that institutional change demands rethinking the pathways to innovation so as to acknowledge the role of rules, distribution of power and wealth, interaction and positions. The time is opportune: climate change, food insecurity, high food prices and concomitant riots are turning national food production into a political issue also for African leaders.
The overall objective of the Comprehensive Assessment of the Agricultural Sector (CAAS) is to provide an evidence base to enable appropriate strategic policy responses by the Government of Liberia (GoL) and its development partners in order to maximize the contribution of the agriculture sector to the Government's overarching policy objectives. Given the strong relationship between growth in agricultural productivity and poverty reduction, future efforts in Liberia need to focus on productivity enhancing measures with a pro-poor focus that increase incomes.
Poverty, environment, social development, and gender are important cross-cutting themes of the World Bank and government investment programs, especially within the Sustainable Development Network (SDN). For developing sectoral strategies and programs, economic, environment and social assessments are undertaken, however, these are usually done separately, and most often gender issues are not included.
Poverty reduction is a long-standing development objective of many developing countries and their aid donors, including the World Bank. To achieve this goal, these countries and organizations have sought to improve smallholder agricultural productivity in Sub-Saharan Africa (SSA) as part of a broader rural development agenda aimed at providing a minimal basket of goods and services in rural areas to satisfy basic human needs. These goods and services include not only food, health care, and education, but also infrastructure.
Les « modèles d’entreprises inclusives » ont fait l’objet d’un regain d’intérêt ces dernières années, dans le cadre de débats plus généraux concernant l’accroissement des investissements agricoles dans les pays à faible revenu. Ce rapport se penche sur les coentreprises dans le secteur agricole sud-africain. L’expérience de l’Afrique du Sud présente des caractéristiques propres liées à son histoire et à son récent programme de réforme agraire. Les bénéficiaires de la réforme agraire se sont embarqués dans diverses coentreprises avec des partenaires commerciaux.
L’intégration de la conservation de la biodiversité à un développement durable est ici analysée pour la gestion de la zone tampon de la Réserve de biosphère du Parc du W. Trois gestions intentionnelles sont avancées pour anticiper une transition agraire et paysagère. Chacune d’elles s’appuie sur des capacités qui leur sont propres. Une gestion intégrée de type agro forestière est recommandée.
La sécurité alimentaire en Algérie semble plus que menacée par un niveau de croissance démographique incontrôlé, par la dégradation des conditions physiques du secteur de l’agriculture, par la baisse des ressources hydriques et par le retard de développement technique de l’activité. À partir d’une revue bibliographique sur la situation actuelle du secteur agricole, le texte définit ses niveaux de développement et les défis de l’avenir auxquels ce secteur sera confronté.
La sécheresse qui sévit dans le Sahel depuis les années 1970 a fortement réduit les productions dans les principaux secteurs d’activités que sont la pêche, l’élevage et l’agriculture. Dans le Delta Intérieur du Niger au Mali (DIN), la pêche dont le développement est intimement lié aux fluctuations inter-saisonnières et interannuelles de la crue du fleuve Niger, est en crise. Les prises ont diminué de moitié, beaucoup de pêcheurs sont partis, certains ont adopté des pratiques non durables et les règles sociales subissent d’importantes modifications.
Des facteurs structurels expliquent l’insécurité alimentaire en éthiopie : forte croissance démographique, faible productivité des parcelles agricoles, cultures majoritairement pluviales, réseau de communication quasi inexistant, etc. Malgré des moyens et des marges de productivité importants, les politiques agricoles n’ont pas permis de réduire les besoins en aide alimentaire de la population. Explications dans ce dossier.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?