The purpose of this paper is to map some elements that can contribute to an IFAD strategy to stimulate and support pro-poor innovations. It is an initial or exploratory document that hopefully will add to an ongoing and necessary debate, and is not intended as a final position paper. The document is organized as follows.
The 2016 Rural Development Report focuses on inclusive rural transformation as a central element of the global efforts to eliminate poverty and hunger, and build inclusive and sustainable societies for all. It analyses global, regional and national pathways of rural transformation, and suggests four categories into which most countries and regions fall, each with distinct objectives for rural development strategies to promote inclusive rural transformation: to adapt, to amplify, to accelerate, and a combination of them.
El propósito de este Manual es ejercer de guía para profesionales y personal técnico al tratar cuestiones de género y al integrar acciones de perspectiva de género en el diseño e implementación de programas y proyectos agrarios. No se dirige a especialistas de género para que mejoren sus capacidades sino más bien a expertos técnicos para guiarlos a analizar a conciencia cómo integrar la dimensión de género en sus operaciones.
This report is based on substantive evidence and attempts to provide the kind of analysis that can inform policies, programmes and investments to promote a rural transformation that is inclusive of youth. It examines who rural youth are, where they live, and the multiple constraints they face in their journey from dependence to independence. A distinguishing feature of this report is that it examines rural development in the context of the transformation of rural areas and the wider economy. Opportunities for young women and men begin with a transformation towards a dynamic rural economy.
This event launches a new phase of the JP RWEE that will even further enhance its holistic approach to advancing rural women’s economic empowerment by integrating a climate resilience lens to tackle deep rooted social norms which limit women’s participation and leadership in rural communities including through applying gender transformative approaches.
These initiatives generated transformative and lasting results and contributed to the strengthening of local public policies and economic growth. Using very few resources and focusing on agroecological and inclusive production methods, these women have become role models in their communities and beyond. Empowered women can participate more actively in their communities and foster inclusive local policies that will ultimately drive more sustainable and just rural development.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.