La formulación, implementación y gestión de proyectos de desarrollo rural requiere procesos de participación que induzcan la acción colectiva. Estos procesos necesitan nuevas estructuras sociales donde se involucre a la sociedad civil organizada, como los llamados Grupos de Acción Local (GAL) creados en el contexto de la iniciativa europea LEADER.
En este artículo se aborda la temática de las experiencias exitosas de las organizaciones sociales en el Corredor Biológico Mesoamericano a partir de una evaluación participativa de la cual surgieron 22 indicadores que permiten medir, ya sea de forma cuantitativa o cualitativa el desarrollo de los proyectos.
Los nuevos modelos de transferencia de tecnología aplicados desde la década de los noventa al sector rural mexicano han tenido como resultado bajas coberturas, en 2010 sólo el 2% de 5.5 millones de unidades de producción rural contaban con este servicio. En busca de mejorar la eficiencia y eficacia de los recursos públicos, se propone una estrategia para incrementar la cobertura de transferencia de tecnología en el sector rural. Se analizaron 11 casos de agentes de cambio que intervinieron en 2010 con procesos de transferencia de tecnología.
La presentación explica qué tipo de indicadores se pueden usar para valorar la extensión rural.
Les espaces ruraux périurbains des grandes villes d'Algérie vivent des transformations liées à trois facteurs combinés, parfois contradictoires : l'ouverture libérale, la redistribution de la rente pétrolière et l'évolution des espaces et des marchés urbains. Les exemples de la Mitidja centrale (entre Blida et Alger) et de l'Oranais en révèlent la diversité et les contrastes.
La sécurité alimentaire en Algérie semble plus que menacée par un niveau de croissance démographique incontrôlé, par la dégradation des conditions physiques du secteur de l’agriculture, par la baisse des ressources hydriques et par le retard de développement technique de l’activité. À partir d’une revue bibliographique sur la situation actuelle du secteur agricole, le texte définit ses niveaux de développement et les défis de l’avenir auxquels ce secteur sera confronté.
Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.
Les relations entre, d’une part, la nature des droits et la disponibilité d’un titre de propriété, d’autre part, la stimulation du marché foncier, l’investissement ou la productivité des facteurs, restent objets de débats. Cette relation est explorée dans le cas de la politique foncière algérienne qui en 1983 ouvre la voie à la privatisation des terres du domaine privé de l’État. Cet article discute l’impact de cette politique en termes de marchandisation et d’usage productif de la terre, sur la base d’une enquête conduite dans la wilaya de Laghouat.
Le Touat-Gourara-Tidikelt est un très vaste espace, qui occupe près du quart la superficie du Sahara algérien. Il fait partie intégrante de la zone la plus aride du monde, aux contraintes naturelles particulièrement difficiles. Cet espace connu comme le « Pays des foggaras » était savamment exploité, depuis plus d’un millénaire, par les oasiens qui profitaient de la dynamique économique impulsée par le commerce transsaharien.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.