The purpose of this report is to review the major effects of climate change on the agricultural sector; to examine the causes of vulnerability; and to suggest a range of potential options and investment opportunities for supporting adaptation efforts and, more generally, for building adaptive capacity. This report primarily focuses on appropriate strategies for adapting to climate change impacts that are projected to occur over the next one to two decades, although several issues covered in this report are important for long-term adaptation needs as well.
This paper shared lessons learnt from the project of Improving Productivity and Market Success in forage development approaches, scaling up strategies, opportunities and challenges in the process of farmer innovations and innovative interventions in the value-chain of market oriented livestock development in relation to sustainable use of natural resources in two districts in Ethiopia.
Este documento trata de estrategias de adaptación de los pequeños agricultores para enfrentar el cambio climático.
Contiene: 1 Escenarios sobre la evolución de los biocombustibles según los cambios en la matriz energética global. 2 Potencialidades, ventajas comparativas y estrategias por tipo de países. 3 Posibles impactos socioeconómicos de la producción de biocombustibles. 4 Posibles impactos ambientales. 5 Implicaciones institucionales y geopolíticas.
Súmario: 1 Antecedentes. 2 El hambre cero. 3 Conceptos y principios. 4 Estado y sociedad en la promoción de la seguridad alimentaria y nutricional. 5 Desarrollos y desafíos en el combate a la inseguridad alimentaria y nutricional. 6 Características del sistema nacional de seguridad alimentaria y nutricional. 7 Directrices de la política nacional de seguridad alimentaria y nutricional. 8 Biocombustibles, cambios climáticos y seguridad alimentaria y nutricional. 9 Brasil en el escenario internacional. 10 Principales desafíos.
C’est un pays-continent, planté au milieu de l’Afrique centrale, dont les possibilités agricoles et rurales sont énormes. Les dirigeants de la République démocratique du Congo doivent cependant dépasser une vision extractive de l’économie et renforcer les véritables forces productrices, essentiellement agricoles, tout en sauvegardant le fabuleux patrimoine naturel du pays. En élaborant un Code agricole, le gouvernement congolais affiche l’ambition de se doter de moyens pour relancer l’agriculture, la pêche et l’élevage.
La production et le commerce du lait sont révélateurs des enjeux de la lutte contre la pauvreté. La volatilité des prix du lait sur les marchés internationaux constituerait l’une des principales entraves au développement de filières laitières dans les pays du Sud. Cette année, la production de lait des pays pauvres représentera pourtant 48% de la production laitière mondiale; mais les produits laitiers importés du Nord mettent en difficulté les producteurs locaux.
Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?
Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.
Iron deficiency is a widespread nutritional problem in developing countries, causing impaired physical activity and cognitive development, as well as maternal mortality. Although food fortification and supplementation programmes have been effective in some countries, their overall success remains limited. Biofortification, that is, breeding crops for higher micronutrient content, is a relatively new approach. We propose a methodology for ex-ante impact assessment of iron biofortification, which builds on disability-adjusted life years (DALYs) and a large household data set.