How effective are multi-stakeholder scenarios-building processes to bring diverse actors together and create a policy-making tool to support sustainable development and promote food security in the developing world under climate change? The effectiveness of a participatory scenario development process highlights the importance of “boundary work” that links actors and organizations involved in generating knowledge on the one hand, and practitioners and policymakers who take actions based on that knowledge on the other.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.
TAP and its partners carried out regional surveys in Asia, Africa and Central America to assess priorities, capacities and needs in national agricultural innovation systems. This document provides a Regional synthesis report on capacity needs assessment for agricultural innovation in Africa. FARA was selected as Recipient Organization by FAO to facilitate TAP implementation in Africa. This is mainly due to its position as the umbrella organization bringing together and forming coalitions of major regional stakeholders in agricultural research and development.
L' étude de la Banque Mondiale a identifié des mesures d’atténuation pouvant apporter des solutions à court et à long termes aux problèmes du secteur agricole du Niger. Il s’agit, notamment de :
l’utilisation de variétés à haut rendement résistantes à la sécheresse,
l’application de techniques de CES/DRS et de gestion des ressources naturelles,
l’extension des surfaces sous irrigation,
la lutte préventive contre les criquets pèlerins,
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population.
Dans le besoin urgent de lutter contre le changement climatique, une priorité essentielle est de renforcer la capacité de ces groupes et communautés les plus vulnérables, et déjà fortement affectés, à améliorer leur capacité à adapter leurs systèmes de subsistance.
This reports highlights social learning as an essential aspect in dealing with the complexities around climate change and uncertainty in food production. It is not just about adapting to these complexities, it is actually about implementing tranformative changes.
This paper has been prepared under the guidelines provided by the TAP Secretariat at the FAO, as a contribution to the G20 initiative TAP, which includes near 40 partners and is facilitated by FAO. Its purpose is to provide a Regional synthesis report on capacity needs assessment for agricultural innovation, with capacity gaps identified and analyzed, including recommendations to strengthen agricultural innovation systems (AIS) and draft policy recommendations to address the capacity gaps.
The study report is based on case studies from Bangladesh (Sulaiman, 2010), Bolivia (Pafumi and Ulloa, 2010), DR Congo (Mbaye, 2010) and Ghana (Adjei-Nsiah and Dormon, 2010) which were carried out with the purpose of assessing needs and gaps with regard to the provision of innovation support services for climate change adaptation. It took the form of desk-studies complemented with key informant interviews.
Hacia el fin de la primera década del siglo xxi se han producido en el mundo alimentos más que suficientes para alimentar a una población mundial de cerca de siete mil millones de habitantes. Sin embargo, en los países en desarrollo alrededor de una de cada seis personas todavía padece hambre crónica, lo cual plantea una situación tan terrible, que de ninguna manera puede aceptarse.