La crise liée au SARS-CoV2 (syndrome respiratoire aigu sévère–coronavirus 2) a donné lieu à une profusion de documents et webinaires sur la sécurité alimentaire au niveau international, ce qui tend à brouiller la compréhension des dynamiques à l’œuvre sur le terrain. Cet article se propose de faire le point sur la situation des secteurs agricole et agroalimentaire, à partir des informations relayées par un réseau d’experts du Cirad et de leurs partenaires dans une diversité de pays en Afrique subsaharienne.
For millennia, humans have modified plant genes in order to develop crops best suited for food, fiber, feed, and energy production. Conventional plant breeding remains inherently random and slow, constrained by the availability of desirable traits in closely related plant species. In contrast, agricultural biotechnology employs the modern tools of genetic engineering to reduce uncertainty and breeding time and to transfer traits from more distantly related plants.
On observe depuis les années 2000 la volonté des acteurs de la sécurité alimentaire de rapprocher résilience et sécurité alimentaire. Ce rapprochement n’apparaît cependant pas si évident au vu de la diversité d’éléments de langages utilisés pour les associer. Cet article vise donc à faire un état des lieux de l’association de ces notions, voire de leur intégration mutuelle. L’application de la résilience à la sécurité alimentaire met-elle en avant les mêmes dimensions que lorsqu’elle est appliquée aux systèmes socioécologiques ? Y aurait-il ainsi plusieurs concepts de résilience ?
Cet article présente une enquête menée dans le nord-ouest du Nicaragua, qui vise à comprendre comment les flux d’argent et d’aliments générés par les activités diversifiées et multilocalisées des familles agricoles interviennent dans l’accès aux aliments et dans la perception de la sécurité alimentaire. Dans la région d’étude, l’agriculture familiale est caractérisée par des conditions agro-écologiques difficiles et repose sur la production vivrière et l’élevage bovin.
Cet article présente et décrit le contenu d’une base de données construite à partir d’une enquête menée dans le gouvernorat de Sidi-Bouzid, situé dans le centre de la Tunisie. Sur ce territoire en transition, le secteur agricole, qui tient une place prédominante dans l’activité économique, est caractérisé par la diversité de ses exploitations, aussi bien sur le plan organisationnel (main-d’œuvre familiale ou salariée à dominante féminine) que technique (présence d’infrastructure d’irrigation, de culture sous-abri).
Agricultural biotechnology and, specifically, the development of genetically modified (GM) crops have been controversial for several reasons, including concerns that the technology poses potential negative environmental or health effects, that the technology would lead to the (further) corporatization of agriculture, and that it is simply unethical to manipulate life in the laboratory. GM crops have been part of the agricultural landscape for more than 15 years and have now been adopted on more than 170 million hectares (ha) in both developed countries (48%) and developing countries (52%).
Genetically engineered (GE) foods apply new molecular technologies to Widely adopted in the United States, Brazil, and Argentina for the p corn, soybeans, and cotton, they are practically banned in Europe and tigh throughout the world. We have found that GE foods have significantly incr of corn, soybean, and cotton, and lowered their prices, thus improving food foods have already contributed to a reduction in the use of pesticides and
This paper assesses the relationships between women’s dietary diversity and various indicators of agricultural biodiversity in farms of the Hauts-Bassins, a cotton-growing region in rural western Burkina Faso. A sample of 579 farms representative of the region was surveyed at three different periods of the year. Using a qualitative 24-h dietary recall, we computed a women’s dietary diversity score (WDDS-10) based on ten food groups.