Many of the world’s food-insecure and undernourished people are smallholder farmers in developing countries. This is especially true in Africa. There is an urgent need to make smallholder agriculture and food systems more nutrition-sensitive. African farm households are known to consume a sizeable part of what they produce at home. Less is known about how much subsistence agriculture actually contributes to household diets, and how this contribution changes seasonally. We use representative data from rural Ethiopia covering every month of one full year to address this knowledge gap.
Productivity growth in smallholder agriculture is an important driver of rural economic development and poverty reduction. However, smallholder farmers often have limited access to information, which can be a serious constraint for increasing productivity. One potential mechanism to reduce information constraints is the public agricultural extension service, but its effectiveness has often been low in the past.
The use of mobile phones has increased rapidly in many developing countries, including in rural areas. Besides reducing the costs of communication and improving access to information, mobile phones are an enabling technology for other innovations. One important example are mobile phone based money transfers, which could be very relevant for the rural poor, who are often underserved by the formal banking system. We analyze impacts of mobile money technology on the welfare of smallholder farm households in Kenya.
The role of genetically modified (GM) crops for food security is the subject of public controversy. GM crops could contribute to food production increases and higher food availability. There may also be impacts on food quality and nutrient composition. Finally, growing GM crops may influence farmers’ income and thus their economic access to food. Smallholder farmers make up a large proportion of the undernourished people worldwide. Our study focuses on this latter aspect and provides the first ex post analysis of food security impacts of GM crops at the micro level.
Despite substantial research on the economic effects of transgenic insect-resistant Bacillus thuringiensis (Bt) cotton, there is still limited work on this technology’s impacts on human health. Due to the inbuilt insect resistance, Bt cotton requires fewer pesticide sprays than conventional cotton, which is not only advantageous from economic and environmental perspectives, but may also result in health benefits for farmers.
La co-conception de systèmes agricoles innovants est une piste prometteuse pour répondre au défi de l’innovation, notamment pour les exploitations agricoles familiales africaines confrontées à de multiples changements. Mais il faut penser à la place et aux rôles tenus par de multiples acteurs (agriculteurs, conseillers, chercheurs) pour produire les changements souhaités par toutes les parties, et donc réfléchir à la question du partenariat dans le processus.
La rencontre des chercheurs qui s’interrogent sur l’efficacité de leurs interventions pour accompagner les acteurs dans les processus de changement constitue une occasion pour s’interroger sur les méthodes de recherche à développer lors de travaux réalisés avec les acteurs : recherche participative, « recherche-action », recherche intervention... L’auteur propose de présenter la démarche de recherche-action comme nouvelle.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
L’agronomie s’interroge sur la façon de co-développer de nouvelles propositions techniques et organisationnelles pour améliorer la production et le niveau de vie des populations. La Recherche-Action en Partenariat (RAP) est une démarche de recherche qui associe les acteurs locaux à la construction d’innovations. Le caractère imprévisible des stratégies des acteurs et la nécessité d’atteindre les objectifs de la RAP incitent les chercheurs à mettre en place des dispositifs adaptés à la situation locale.
En étudiant les apprentissages produits par la mise en place des contrats territoriaux d’exploitation (CTE) puis des contrats d’agriculture durable (CAD) à l’île de la Réunion, nous montrons de quelle manière ces outils ont impulsé les prémices d’une agriculture durable dont nous pensons que les apprentissages sont une composante essentielle. Notre travail s’appuie sur des entretiens avec les acteurs du développement rural, techniciens des organisations de développement notamment.