The authors aimed at knowing how different learning methods, such as video shows and workshops, change farmers’ knowledge, attitudes and practices about botanical pesticides. This paper explains how video engages men and women farmers in spreading botanical pesticides across 12 villages in Bogra District, north-western Bangladesh.The authors conducted ex ante and ex post surveys among farmers from November 2009 to September 2010. For data analysis, the authors used t-test and McNemer and Wilcoxon sign rank tests.
In this paper, findings suggest that the uptake of social media is still in an early, exploratory phase associated with modest opportunities and relevant limitations of Web 2.0 mediated multi-stakeholder collaboration. Notably, there are gaps in giving and receiving feedback which are intrinsic to dyadic communication as well as innovation processes.
In Bangladesh, strengthening agricultural innovation calls for facilitation of interactive communication and a wide range of mediation tasks within (and between) stakeholders operating in different social spheres. This paper examines how a public-sector agricultural extension agency has attempted to change its roles in implementing a major agricultural extension project in order to strengthen agricultural innovation.
Recent experiences in participatory video-making raise the question of how best to use this medium for enhancing local seed innovation systems. Embedded in a mini-process of participatory action research, two styles of participatory video—scripted and scriptless—were tested and assessed together with farmers and facilitators in Bogra District, Bangladesh.
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie. En 2018 les agricultures familiales seront encore menacées.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.