Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
The study examines whether the goal of food security for the population of Sverdlovskaya oblast, one of the mostly industrial northern region in Russia, aiming agricultural productivity improvement and rural poverty reduction, could be achieved by the regional authorities within post-soviet type of agricultural policy. Results show that, the current trends of agricultural production and rural social development in Sverdlovskaya oblast are degrading.
This paper synthesizes Component 2 of the Regoverning Markets Programme. It is based on 38 empirical case studies where small-scale farmers and businesses connected successfully to dynamic markets, doing business with agri-processors and supermarkets. The studies aimed to derive models, strategies and policy principles to guide public and private sector actors in promoting greater participation of small-scale producers in dynamic markets. This publication forms part of the Regoverning Markets project.
Agricultural policy formulation in Sub Saharan Africa has been dominated by research initiatives that alienated other farmers and stakeholders. The Sub Saharan Africa Challenge Programme (SSA CP) seeks to use multi-stakeholder partnerships as an institutional innovation for agricultural policy formulation and development. This paper uses some experiences from the SSA CP to discuss the design principles for an effective partnership that can deliver relevant agricultural policies.
This paper briefly analyse the genesis, development and change in public sector-led extension approaches in India showing its temporal pattern, emerging innovations in extension approaches and the way forward. It discusses decentralized, community based, pluralistic extension approaches and their opportunities as well as limitations in changing agricultural and natural resources scenario.
Zimbabwe has a pluralistic agricultural extension system. In addition to the public extension service, donors contract private service providers to deliver extension services in specific project areas. This study assesses the impact of an outsourced extension service on rural households in the Mutasa district of Zimbabwe’s Manicaland Province, and examines the financial cost and benefit of this service. The extension service was delivered by a local agribusiness firm and funded by USAID. The study analyses survey data gathered from 94 client and 90 non-client rural households.
In order to facilitate Participatory Technology Development (PTD) in African agriculture, extensionists and scientists must collaborate with local innovators to optimise (where necessary) and disseminate their innovations. This literature review proposes a conceptual model for PTD in which technology is developed in the context of an adoption cycle. Building on an innovation-decision approach, the characteristics of innovations that achieve widespread uptake are identified.