Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
La stratégie de Lisbonne met en avant la nécessité de stimuler la croissance et de créer des emplois dans les zones rurales, elle vise à renouveler les bases de la compétitivité européenne, à augmenter son potentiel de croissance ainsi que sa productivité et à renforcer la cohésion sociale en misant principalement sur la connaissance, l’innovation et la valorisation du capital humain.
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
This presentation for the Third Global Conference on Agricultural Research for Development (GCARD3,Johannesburg, South Africa, 5-8 April 2016) illustrates the main goals and activities of the Tropical Agriculture Platform, the multilateral facilitation mechanism established by the G20 to promote greater coherence and impact of capacity development (CD) for agricultural innovation systems (AIS).
This work has largely focused on the developed world, yet the majority of people and future economic growth lies in the developing world. Further, most research examines micro data on consumers or firms, limiting what is known regarding the role of macro factors on diffusion, such as social systems. Addressing these limitations, this research provides the first high-level insights into how green building adoption is occurring in developing countries.
Natural hazards have become more frequent and intense in the last few decades, increasing the often significant negative impacts on the gross domestic product of countries in southern Africa and undermining development efforts. Forecasts are negative as a result of climate change, which is increasingly linked to more frequent and severe weather patterns that are expected to have a dramatic impact on these countries‘ economies and environments.
This brief is part of the series, A Field Guide for Disaster Risk Reduction in Southern Africa: Key Practices for DRR Implementers, coordinated by the FAO Subregional Office for Disaster Risk Reduction/Management for Southern Africa. The brief provides practical guidelines on storage practices and methodologies to assist southern African farmers prone to natural hazards, mainly cyclones, droughts and floods.
This chapter documents the learning process within the framework of innovation of soil fertility management practices that emerged from the implementation of Participatory Extension Approach (PEA) as part of service delivery reorientation within the Limpopo Department of Agriculture in South Africa.The chapter gives a narrative description of what transpired during the interaction between researchers, extension officers and farmers, the processes involved, the lessons and the conclusion.
Following the remarkable success of performance testing in the commercial sector, the Agricultural Research Council's Animal Improvement Institute (ARC–AII) initiated a beef cattle performance testing scheme for smallholder farmers in 1996. The scheme, which became known as Kaonafatsho ya Dikgomo (Sotho for animal improvement), has been running well in the Northern and North West Provinces and is set to spread gradually to the rest of the country.