In developing regions with high levels of poverty and a dependence on climate sensitive agriculture, studies focusing on climate change adaptation, planning, and policy processes, have gained relative importance over the years. This study assesses the impact of farmer perceptions regarding climate change on the use of sustainable agricultural practices as an adaptation strategy in the Chinyanja Triangle, Southern Africa.
This article addresses the impact of Integrated Agricultural Research for Development (IAR4D) on food security among smallholder farmers in three countries of southern Africa (Zimbabwe, Mozambique and Malawi). Southern Africa has suffered continued hunger despite a myriad of technological interventions that have been introduced in agriculture to address issues of food security, as well as poverty alleviation.
Climate variability and change threaten and impact negatively on biodiversity, agricultural sustainability, ecosystems, and economic and social structures – factors that are all vital for human resilience and wellbeing. To cope with these challenges, embracing sustainability in food production is therefore essential. Practising sustainable agriculture is one way of ensuring sustainability in pro-poor farming communities in low-income countries.
The failure of the linear and non-participatory Agricultural Research and Development approaches to increase food security among smallholder farmers in sub-Saharan Africa has prompted researchers to introduce an Integrated Agricultural Research for Development (IAR4D) concept. The IAR4D concept uses Innovation Platforms (IPs) to embed agricultural research and development organizations in a network to undertake multidisciplinary and participatory research.
This paper sets out to determine the impact of Integrated Agricultural Research for Development in three selected countries of Southern Africa. Agricultural productivity in Southern Africa faces several challenges, of which poor soil fertility strikes out as the priority problem inhibiting increased productivity in farmers’ fields. While several soil fertility management technologies are being promoted in the region, their uptake by smallholder farmers remains very low.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.