This paper outlines key areas of intervention that are identified as the core of FAO's strategy on strengthening Agricultural Innovation Systems (AIS) across multiple areas of work (e.g. research and extension, agroecology, biotechnology, green jobs, resourcing etc.) for achieving sustainable rural development.
Global agriculture will face multiple challenges over the coming decades. It must produce more food to feed an increasingly affluent and growing world population that will demand a more diverse diet, contribute to overall development and poverty alleviation in many developing countries, confront increased competition for alternative uses of finite land and water resources, adapt to climate change, and contribute to preserving biodiversity and restoring fragile ecosystems.
La rencontre des chercheurs qui s’interrogent sur l’efficacité de leurs interventions pour accompagner les acteurs dans les processus de changement constitue une occasion pour s’interroger sur les méthodes de recherche à développer lors de travaux réalisés avec les acteurs : recherche participative, « recherche-action », recherche intervention... L’auteur propose de présenter la démarche de recherche-action comme nouvelle.
La façon donc les organismes de recherche et d'appui aux agriculteurs participent aux processus de développement de l'agriculture et du monde rural fait l'objet de débats. Ceux-ci portent à la fois sur la compréhension des besoins réels des agriculteurs et sur les formes de coordination entre les différents acteurs de la production de connaissances traduisibles en actions. Nous proposons d'illustrer cette problématique à partir d'un programme de coopération franco-argentin Innovaciones, Desarrollo, Exploitationes Agropecuarias, Sociedad local (IDEAS), engagé en Argentine en 1995-1996.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
L’agriculture familiale est de loin la forme d’agriculture la plus répandue au monde, tant dans les pays développés que dans les pays en développement. Elle représente la principale source d’emplois dans le monde. C’est bien plus qu’une simple modalité de production alimentaire. C’est un mode de vie.
La FAO a adopté une approche multidimensionnelle pour aider les exploitants familiaux pauvres à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et renforcer leur capacité de création de revenus, afin de réduire la pauvreté rurale.