This book describes how the Alliance for a Green Revolution in Africa (AGRA) has been trying to improve markets for staple foods in Africa through its Market Access Programme. It describes 13 projects from eight countries (Burkina Faso, Ghana, Kenya, Malawi, Mozambique, Rwanda, Tanzania and Uganda) that the programme has supported. The book does not attempt to describe the cases in detail. Rather, it focuses on particular aspects in order to derive lessons from which the project managers, AGRA and other development organizations can learn.
A growing variety of public and private rural advisory services are available today, leading to increasingly “pluralistic service systems” (PSS), in which advisory services are provided by different actors and funded from different sources. However, these PSS and the way they operate are still poorly understood. In particular, how PSS can effectively respond to demands of heterogeneous farmers in contexts where small-scale agriculture increasingly needs to exploit value addition and adapt to market requirements.
A growing variety of public and private agricultural advisory services are available today, leading to increasingly ‘pluralistic service systems’ (PSS) where advisory services are provided by different actors and funded from different sources. This is generally regarded as an important step forward, as it steers away from relying on purely state-led or privatised service systems. PSS hold the potential to overcome constraints related to funding, staffing and expertise, and to make advisory services more demand-driven.
A growing variety of public and private rural advisory services are available today, leading to increasingly pluralistic service systems (PSS) – in which advisory services are provided by different actors and funded from different sources. PSS have emerged in many countries as a response to a decline in public sector extension and the increasing demand for tailored, diverse and market-oriented services. Private companies, non-governmental organizations and producer organizations, today play more active roles alongside traditional public sector providers.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Au niveau familial, l’émigration constitue souvent une recherche de revenus, de sécurité, mais aussi une manière de faire face à des problèmes socio-politiques et des conflits. A l’encontre des clichés, l’émigration n’est pas forcément défavorable à l’agriculture familiale.
Face aux limites du système agro-industriel productiviste, des résistances et des alternatives positives proposent de nouvelles façons de penser et de pratiquer l’agriculture.
Le président Macky Sall veut mettre en pratique une série de réformes inclusives qui permettraient au Sénégal d’allier à la fois les « bienfaits de l’agrobusiness » et de l’agriculture paysanne. La balle est dans le camp des sociétés civiles et des organisations paysannes qui doivent saisir la chance d’orienter les politiques agricoles de leur pays. Si elles manquent cette opportunité, le gouvernement sénégalais risque de favoriser l’agrobusiness classique.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.