Research, extension, and advisory services are some of the most knowledge-intensive elements of agricultural innovation systems. They are also among the heaviest users of information communication technologies (ICTs). This module introduces ICT developments in the wider innovation and knowledge systems as well as explores drivers of ICT use in research and extension
A growing variety of public and private rural advisory services are available today, leading to increasingly “pluralistic service systems” (PSS), in which advisory services are provided by different actors and funded from different sources. However, these PSS and the way they operate are still poorly understood. In particular, how PSS can effectively respond to demands of heterogeneous farmers in contexts where small-scale agriculture increasingly needs to exploit value addition and adapt to market requirements.
A growing variety of public and private agricultural advisory services are available today, leading to increasingly ‘pluralistic service systems’ (PSS) where advisory services are provided by different actors and funded from different sources. This is generally regarded as an important step forward, as it steers away from relying on purely state-led or privatised service systems. PSS hold the potential to overcome constraints related to funding, staffing and expertise, and to make advisory services more demand-driven.
A growing variety of public and private rural advisory services are available today, leading to increasingly pluralistic service systems (PSS) – in which advisory services are provided by different actors and funded from different sources. PSS have emerged in many countries as a response to a decline in public sector extension and the increasing demand for tailored, diverse and market-oriented services. Private companies, non-governmental organizations and producer organizations, today play more active roles alongside traditional public sector providers.
Les grandes exploitations agricoles créées dans le cadre de la loi de mise en valeur agricole de 1983 dans le Sahara algérien étaient vouées à une production céréalière sous pivot. L’objectif était de développer économiquement des régions sahariennes pour partie marginalisées, ainsi que de réduire la dépendance chronique en céréales du pays. L’État a considérablement investi pour équiper ces exploitations agricoles dans le cadre d’un vaste plan de développement rural. Mais trente ans après la parution de la loi, les réalisations demeurent limitées au regard des objectifs initiaux.
Le Touat-Gourara-Tidikelt est un très vaste espace, qui occupe près du quart la superficie du Sahara algérien. Il fait partie intégrante de la zone la plus aride du monde, aux contraintes naturelles particulièrement difficiles. Cet espace connu comme le « Pays des foggaras » était savamment exploité, depuis plus d’un millénaire, par les oasiens qui profitaient de la dynamique économique impulsée par le commerce transsaharien.
L’exploitation agricole familiale des oasis occidentales du Sahara algérien évolue dans un contexte de difficultés lié au déclin des ressources en eau (amenée par les galeries des foggaras) au faible revenu tiré de l’agriculture et à la diversification des activités, au profit de celles non agricoles, plus rémunératrices. À ces facteurs s’ajoutent les effets d’une atomisation de la propriété agricole oasienne, due à l’indivision foncière en rapport avec l’accroissement démographique.