Research, extension, and advisory services are some of the most knowledge-intensive elements of agricultural innovation systems. They are also among the heaviest users of information communication technologies (ICTs). This module introduces ICT developments in the wider innovation and knowledge systems as well as explores drivers of ICT use in research and extension
A growing variety of public and private rural advisory services are available today, leading to increasingly “pluralistic service systems” (PSS), in which advisory services are provided by different actors and funded from different sources. However, these PSS and the way they operate are still poorly understood. In particular, how PSS can effectively respond to demands of heterogeneous farmers in contexts where small-scale agriculture increasingly needs to exploit value addition and adapt to market requirements.
A growing variety of public and private agricultural advisory services are available today, leading to increasingly ‘pluralistic service systems’ (PSS) where advisory services are provided by different actors and funded from different sources. This is generally regarded as an important step forward, as it steers away from relying on purely state-led or privatised service systems. PSS hold the potential to overcome constraints related to funding, staffing and expertise, and to make advisory services more demand-driven.
A growing variety of public and private rural advisory services are available today, leading to increasingly pluralistic service systems (PSS) – in which advisory services are provided by different actors and funded from different sources. PSS have emerged in many countries as a response to a decline in public sector extension and the increasing demand for tailored, diverse and market-oriented services. Private companies, non-governmental organizations and producer organizations, today play more active roles alongside traditional public sector providers.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.