The purposes of this course are to review the major reforms being considered internationally that aim to change the policy and institutional structure and operations of public sector agricultural extension systems, and to examine the advantages and disadvantages of each of these reforms as illustrated by the selected case studies. Aside from the introductory chapter, the course is organized into nine modules, which are conceived as part of a larger framework.
Súmario: 1 Antecedentes. 2 El hambre cero. 3 Conceptos y principios. 4 Estado y sociedad en la promoción de la seguridad alimentaria y nutricional. 5 Desarrollos y desafíos en el combate a la inseguridad alimentaria y nutricional. 6 Características del sistema nacional de seguridad alimentaria y nutricional. 7 Directrices de la política nacional de seguridad alimentaria y nutricional. 8 Biocombustibles, cambios climáticos y seguridad alimentaria y nutricional. 9 Brasil en el escenario internacional. 10 Principales desafíos.
C’est un pays-continent, planté au milieu de l’Afrique centrale, dont les possibilités agricoles et rurales sont énormes. Les dirigeants de la République démocratique du Congo doivent cependant dépasser une vision extractive de l’économie et renforcer les véritables forces productrices, essentiellement agricoles, tout en sauvegardant le fabuleux patrimoine naturel du pays. En élaborant un Code agricole, le gouvernement congolais affiche l’ambition de se doter de moyens pour relancer l’agriculture, la pêche et l’élevage.
Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?
The paper explores the implications of rural livelihood diversity for agricultural innovation policies. It summarises literature on the nature of rural poverty, with particular emphasis on the relative roles of farm and non-farm income. It also reviews the various roles, direct and indirect, that agricultural innovation can play in rural poverty reduction. Finally, it uses an agricultural knowledge and information systems (AKIS) perspective to argue for a differentiated approach to targeting agricultural innovations, based on an analysis of rural assets.
L’évaluation participative repose sur le principe d’une participation active des principales parties prenantes (dont les groupes les moins organisés) à l’exercice d’évaluation. Cette démarche présente un certain nombre d’atouts qui peuvent se transformer en limites quasi rédhibitoires si certains préalables ne sont pas remplis. La finalité de cet article est de discuter des avantages et des inconvénients de la participation, ainsi que des conditions à réunir pour que l’évaluation participative puisse atteindre ses objectifs.
La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.
Du fait de leur transversalité et de leur objet, l'évaluation des politiques de développement territorial ne peut pas s'appuyer sur les outils utilisés pour évaluer les politiques sectorielles. Les questions procédurales sont très largement dominantes, les dispositifs portant essentiellement sur la gouvernance et la coordination. Pour évaluer une démarche procédurale, il convient de préciser le référentiel d’évaluation à la fois en termes du quoi et du comment évaluer.
Following the remarkable success of performance testing in the commercial sector, the Agricultural Research Council's Animal Improvement Institute (ARC–AII) initiated a beef cattle performance testing scheme for smallholder farmers in 1996. The scheme, which became known as Kaonafatsho ya Dikgomo (Sotho for animal improvement), has been running well in the Northern and North West Provinces and is set to spread gradually to the rest of the country.
This guide has been prepared for use in facilitating and promoting growth in priority sectors already agreed in Decent Work Country Programmes that are based on national priorities owned and led by the constituents (Government and its social partners Employers/Business and Workers). Decent Work Country Programmes are part of national development frameworks focusing on national priorities; they are not ILO programmes.