Qu’en est-il des « activités non agricoles » ? Peuvent-elles être pensées au-delà d’une perspective de survie ? De la transformation des récoltes à la commercialisation d’artisanat culturel, en passant par le transport routier, la location de téléphone portable ou le conseil en technologies de l’information, les activités non agricoles occupent un éventail très large. Leur utilité est de plus en plus reconnue.
This sourcebook contributes to identifying, designing, and implementing the investments, approaches, and complementary interventions that appear most likely to strengthen Agricultural innovation systems (AIS) and to promote agricultural innovation and equitable growth. It emphasizes the lessons learned, benefits and impacts, implementation issues, and prospects for replicating or expanding successful practices. The information in this sourcebook derives from approaches that have been tested at different scales in different contexts.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
À l’occasion de l’année internationale des coopératives, le modèle coopératif est-il trop ou pas assez glorifié ? En pointant le rôle important des coopératives pour le développement social, ses valeurs de solidarité et d’autonomie, l’Assemblée générale des Nations unies a décidé de mettre cette forme de mutualisation à l’honneur en 2012. Mais quels critères permettent de classer les coopératives au-dessus d’autres formes associatives ? Et les manières d’élaborer et de concevoir les coopératives sont-elles identiques au Sud et au Nord ?
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
This report summarizes the findings of the study on Competitive Commercial Agriculture for Africa (CCAA). The objective of the CCAA study was to explore the feasibility of restoring international competitiveness and growth in African agriculture through the identification of products and production systems that can underpin rapid development of a competitive commercial agriculture.
The report builds on the 'towards a vision for agricultural innovation in Chile in 2030' report and is further based on a series of background papers and a consultation process that took place between December 2010 and May 2011. The current study is the third in a series of three that were agreed between the Government of Chile and the World Bank to support the development of a long-term agricultural innovation strategy. The first paper reviewed the functioning of the three main public technological institutes and recommended how their performance can be improved.
This report presents the outcome of the World Bank's analytical and advisory work to assess the status of water resources development and the key water issues and challenges facing the country. The Bank has also reviewed its history of cooperation with the Government of China in recent decades, and notes the remarkable achievements China has made in developing the water sector. The report proposes solutions for tackling the enormous challenges facing China in the sector.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.
This Country Partnership Framework (CPF) for Tunisia, prepared jointly by International Bank for Reconstruction and Development (IBRD), International Finance Corporation (IFC) and Multilateral Investment Guarantee Agency (MIGA) covers the period Fiscal Year (FY) 2016 through FY 2020. The CPF is anchored in the Government of Tunisia’s September 2015 Note d’Orientation Stratégique and the WBG’s October 2015 Strategy for the Middle East and North Africa Region.