Starting with background information, the report presents a summary of the plenary presentations of the workshop, which includes a brief on the post-conflict and protracted crisis environment in the 15 participating countries (Rwanda, Democratic Republic of the Congo, Congo Brazzaville, Sierra Leone, Burundi, Ethiopia, Uganda, Central African Republic, Chad, Guinea Bissau, Guinea Conakry, Liberia, Afghanistan, and Tajikistan). Some countries like Afghanistan qualified all in one as conflict, post-conflict and protracted crisis country.
This situation analysis report provides a snapshot of the regional and subregional policies and frameworks that support biofortification and the organizations implementing various nutrition- sensitive initiatives. The report identifies some ongoing initiatives that are relevant to the The Building Nutritious Food Baskets (BNFB) Project mandate and that can be aligned to its activities to facilitate its starting up and scaling up. The report recommends the key actions necessary to facilitate increased investment in and scaling up of biofortified crops in sub-Saharan Africa.
While education access has improved globally, gains are uneven, and development impacts driven by increases in education continue to be left on the table, especially in rural areas. Demand-driven extension and advisory services (EAS) – as a key institution educating rural people while providing agricultural advice and supplying inputs – have a critical role to play in bridging the education gap. This can help ensure that millions of young people successfully capitalise on opportunities in agriculture markets, as surveys in Rwanda and Uganda demonstrate.
A bilateral project between the Swiss Agency for Cooperation and Development (SDC) and the Nepalese government, which ran from 2016 to 2020 and covered 61 municipalities in provinces 1, 3 (Bagmati) and 6 (Karnali), with technical support from the Swiss NGO Helvetas, aimed to promote a multi-stakeholder approach to agricultural services in Nepal.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?
Des facteurs structurels expliquent l’insécurité alimentaire en éthiopie : forte croissance démographique, faible productivité des parcelles agricoles, cultures majoritairement pluviales, réseau de communication quasi inexistant, etc. Malgré des moyens et des marges de productivité importants, les politiques agricoles n’ont pas permis de réduire les besoins en aide alimentaire de la population. Explications dans ce dossier.
Jardins partagés, potagers sur les toits, fermes pédagogiques… L’agriculture urbaine est plurielle. C’est aussi vrai pour les fonctions qu’elle joue. Découvrez-en plus dans l’article d’Anne-Laure sur le concept d’agriculture urbaine et ses différentes fonctions mais aussi ses chiffres clés en infographie (p.4-5) Les crises semblent être propices au développement de cette forme d’agriculture. Joana revient sur des initiatives portées en temps de crise au Royaume-Uni, à Cuba ou encore à Lisbonne.
Chez nous, certains en rêveraient presque … fini le chant du coq à 5h du matin, les odeurs de purin dans les campagnes, les manifestations des producteurs de lait à coup de tracteurs qui bloquent les entrées des villes, et aussi terminé l’argent du contribuable «gaspillé» dans le gouffre des subventions agricoles. D’autres, avec un haussement d’épaules, ne noteraient peut-être même pas la différence.
Les semences, c’est la vie. Le point de départ d’un produit agricole et des aliments qui se trouvent dans nos assiettes. C’est dire leur importance. Mais, le sujet est complexe et fait aussi débat. Parce que les semences se trouvent au coeur d’un imbroglio d’acteurs, d’intérêts et de modes de production différents. C’est un vrai marché (p.4) avec tous les enjeux que cela comporte (p.7-8).