Impératif de développement et impératif de lutte contre le changement climatique sont plus que jamais liés. Le changement climatique accentue les inégalités en touchant de plein fouet les populations les plus pauvres. En accentuant la vulnérabilité de ces pays, il compromet chaque jour un peu plus leurs chances de se développer. C’est pourquoi, depuis 2007, Coordination SUD1 et le RAC-France ont décidé d’unir leurs forces pour peser davantage sur la position de la France dans le cadre des négociations internationales sur le climat.
Note de synthèse du rapport réalisé par la commission Agriculture et alimentation (C2A) de Coordination SUD. Il met en lumière les enjeux d’une adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques sous l’angle des politiques publiques à partir de l’étude de cas des politiques mises en place au Costa Rica, au Niger et au Vietnam.
La agricultura familiar de los países del Sur constituye uno de los sectores más directamente afectados y amenazados por los cambios climáticos. La cuestión de la adaptación, y en particular, la de la adaptación de la agricultura, ha ido ganando terreno en el transcurso de la última década en las agendas políticas nacionales e internacionales.
LenCD has prepared a joint statement on results and capacity development (presented in this publication), which stresses that meaningful, sustainable results are premised on proper investments in capacity development and that these results materialize at different levels and at different times, along countries’ development trajectory. To provide evidence in support of this statement, LenCD launched a call for submission of stories.
Successful cases of innovation invariably demonstrate a range of partnerships, alliances and network-like arrangements that connect together knowledge users, knowledge producers and others involved in enabling innovation in the market, policy and civil society arenas. With this comes the realisation that public agricultural research needs to strengthen links to a wider set of players from the private and civil society sectors and, of course, farmers themselves. Public agricultural extension services have traditionally played the role of linking farmers to technology.
Starting with background information, the report presents a summary of the plenary presentations of the workshop, which includes a brief on the post-conflict and protracted crisis environment in the 15 participating countries (Rwanda, Democratic Republic of the Congo, Congo Brazzaville, Sierra Leone, Burundi, Ethiopia, Uganda, Central African Republic, Chad, Guinea Bissau, Guinea Conakry, Liberia, Afghanistan, and Tajikistan). Some countries like Afghanistan qualified all in one as conflict, post-conflict and protracted crisis country.
The project case-studies described in this document a range of local-level, mainly donor-funded projects in four countries (Sierra Leone, Benin, Uganda and Mozambique). These projects incorporate climate change in their design and rationale in different ways, but generally base themselves on broad-brush climate trends or climate uncertainty rather than on specific downscaled projections. They also demonstrate a continuum ranging from pure knowledge provision, through breeding, seed supply, input provision and marketing, to provision of hardware and infrastructure, especially in irrigation.
Agriculture Innovation System (AIS) thinking and approaches are largely perceived as a sine-qua-non for the design and implementation of effective and sustainable agriculture development programmes. AIS has gained popularity in the agriculture innovation literature and has been embedded in policy documents of agriculture sector institutions in many countries. However, there is much less evidence of AIS thinking influencing the behaviours of research and extension institutions and staff ‘on the ground’.
Les populations africaines font partie des plus vulnérables face au changement climatique, du fait de leurs situations géographiques et économiques. Dans certaines régions du continent, où la variabilité climatique actuelle limite déjà la production agricole, le changement climatique pourrait l’inhiber complètement en l’absence de mesures pour adapter les systèmes agraires existants aux nouveaux contextes. Les paysans, qui représentent 70 à 80 % des agriculteurs en Afrique, seront très certainement les plus vulnérables face au changement climatique.
Face aux enjeux majeurs pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture mondiale, le phénomène d’acquisition et de location de terres à grande échelle est un sujet fortement controversé qui mobilise activement les médias et l’opinion publique.
Le présent document est organisé en deux grandes parties. Une première partie dite « de synthèse » qui à partir de six études de cas d’investissement massif dans les terres en Afrique, en Asie et en Amérique latine, se propose de :