Impératif de développement et impératif de lutte contre le changement climatique sont plus que jamais liés. Le changement climatique accentue les inégalités en touchant de plein fouet les populations les plus pauvres. En accentuant la vulnérabilité de ces pays, il compromet chaque jour un peu plus leurs chances de se développer. C’est pourquoi, depuis 2007, Coordination SUD1 et le RAC-France ont décidé d’unir leurs forces pour peser davantage sur la position de la France dans le cadre des négociations internationales sur le climat.
L’objectif de ce travail est de proposer un plan de formation des différents catégories d'acteurs (à identifier) dans le but d'apporter une contribution significative au renforcement de capacité dans chaque pays et dans la sous-région. Des actions précises visant à permettre aux acteurs de lever les éventuels blocages institutionnels devront accompagner ce processus de renforcement des capacités, notamment en ce qui concerne la négociation, le lobbying, la mise en réseau etc.
Les résultats attendus de ce travail sont :
According to the authors of this paper, actual methods of scaling are rather empirical and based on the premise of ‘find out what works in one place and do more of the same, in another place’. These methods thus would not sufficiently take into account complex realities beyond the concepts of innovation transfer, dissemination, diffusion and adoption. As a consequence, scaling initiatives often do not produce the desired effect.
This chapter assesses the potential of farmer-to-farmer extension (F2FE) as a low-cost approach for promoting CSA. It is based on surveys of extension program managers and farmer-trainers in Cameroon, Kenya and Malawi who are involved in promoting a wide range of agricultural practices, including CSA. In the F2FE approach, extension programs provide education for farmer-trainers, who in turn educate other farmers, typically 17–37 per year. Extension program managers find this approach to be effective in boosting their ability to reach large numbers of farmers.
This study aims to assess if AKIS are effectively disseminating integrated soil fertility management (ISFM) knowledge by comparing results from two sites in Kenya and Ghana, which differ in the uptake of ISFM. Social network measures and statistical methods were employed using data from key formal actors and farmers. Their results suggest that the presence of weak knowledge ties is important for the awareness of ISFM at both research sites.
This paper characterises some of the main issues confronting water-catchment managing in a climate-changing world and addresses wide-spread concerns about the lack of connectivity between science, policy making and implementation. The paper’s arguments are ‘framed’ within a paradigm of systemic and adaptive governing, regulating, planning and managing understood as a nested systemic hierarchy. It is argued that climate change adaptation is best understood as a coevolutionary dynamic, principally, but not exclusively between human beings and the biophysical world.
In this paper, the authors review the conditions that have been undermining sustainable food and nutrition security in the Caribbean, focusing on issues of history, economy, and innovation. Building on this discussion, we then argue for a different approach to agricultural development in the Small Island Developing States of the CARICOM that draws primarily on socioecological resilience and agricultural innovation systems frameworks.
Les populations africaines font partie des plus vulnérables face au changement climatique, du fait de leurs situations géographiques et économiques. Dans certaines régions du continent, où la variabilité climatique actuelle limite déjà la production agricole, le changement climatique pourrait l’inhiber complètement en l’absence de mesures pour adapter les systèmes agraires existants aux nouveaux contextes. Les paysans, qui représentent 70 à 80 % des agriculteurs en Afrique, seront très certainement les plus vulnérables face au changement climatique.
Note de synthèse du rapport réalisé par la commission Agriculture et alimentation (C2A) de Coordination SUD. Il met en lumière les enjeux d’une adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques sous l’angle des politiques publiques à partir de l’étude de cas des politiques mises en place au Costa Rica, au Niger et au Vietnam.
Face aux enjeux majeurs pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture mondiale, le phénomène d’acquisition et de location de terres à grande échelle est un sujet fortement controversé qui mobilise activement les médias et l’opinion publique.
Le présent document est organisé en deux grandes parties. Une première partie dite « de synthèse » qui à partir de six études de cas d’investissement massif dans les terres en Afrique, en Asie et en Amérique latine, se propose de :