This study presents a framework of climate smart agriculture (CSA) priority setting methodology for identifying and developing portfolios of options based on local stakeholders' responses to CSA technologies. The methodology uses a participatory prioritization framework which is widely used in the development sector This study has modified the existing participatory framework to indicator based prioritization of CSA technologies.
Timely availability of reliable information on weather conditions, agro-advisories, and market information can help to minimize losses in agriculture. This paper presents a scientific and integrated approach to identify areas of high agriculture vulnerability to climate change and availability of ICT services for dissemination of Climate Smart Agriculture (CSA) information in the vulnerable areas. This study was illustrated for India where the majority of the population depends on agriculture for their livelihoods, and this sector is highly vulnerable to climate change.
Agriculture in South Asia is vulnerable to climate change. Therefore, adaptation measures are required to sustain agricultural productivity, to reduce vulnerability, and to enhance the resilience of the agricultural system to climate change. There are many adaptation practices in the production systems that have been proposed and tested for minimizing the effects of climate change. Some socioeconomic and political setup contributes to adaptation, while others may inhibit it.
La façon donc les organismes de recherche et d'appui aux agriculteurs participent aux processus de développement de l'agriculture et du monde rural fait l'objet de débats. Ceux-ci portent à la fois sur la compréhension des besoins réels des agriculteurs et sur les formes de coordination entre les différents acteurs de la production de connaissances traduisibles en actions. Nous proposons d'illustrer cette problématique à partir d'un programme de coopération franco-argentin Innovaciones, Desarrollo, Exploitationes Agropecuarias, Sociedad local (IDEAS), engagé en Argentine en 1995-1996.
Les enjeux liés au changement climatique et à la sécurité alimentaire confortent la nécessité de mettre au point des démarches de conception/évaluation de systèmes durables, qu’il s’agisse d’améliorer les situations existantes ou d’imaginer de nouvelles voies de développement. En régions chaudes, l’élevage remplit aussi des fonctions non productives et doit s’adapter aux aléas et incertitudes.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.