ICT-driven digital tools to support smallholder farmers are arguably inevitable for agricultural development, and they are gradually evolving with promising outlook. Yet, the development and delivery of these tools to target users are often fraught with non-trivial, and sometimes unanticipated, contextual realities that can make or mar their adoption and sustainability. This article unfolds the experiential learnings from a digital innovation project focusing on surveillance and control of a major banana disease in East Africa which is being piloted in Rwanda.
While education access has improved globally, gains are uneven, and development impacts driven by increases in education continue to be left on the table, especially in rural areas. Demand-driven extension and advisory services (EAS) – as a key institution educating rural people while providing agricultural advice and supplying inputs – have a critical role to play in bridging the education gap. This can help ensure that millions of young people successfully capitalise on opportunities in agriculture markets, as surveys in Rwanda and Uganda demonstrate.
A bilateral project between the Swiss Agency for Cooperation and Development (SDC) and the Nepalese government, which ran from 2016 to 2020 and covered 61 municipalities in provinces 1, 3 (Bagmati) and 6 (Karnali), with technical support from the Swiss NGO Helvetas, aimed to promote a multi-stakeholder approach to agricultural services in Nepal.
Cet étude se fonde sur une expérience récente du développement de filières commerciales approvisionnées par des forêts naturelles de bambou dans les montagnes de la province nord de Huaphan, au Laos. Il illustre comment, dans un régime centralisé à parti unique encore réticent à reconnaître les droits et capacités des villageois et de la société civile à créer leurs propres organisations, il est possible de déboucher sur la construction de nouveaux communs.
La production et la commercialisation de lait en Afrique de l’Ouest fait partie intégrante de l’économie et du mode de vie des familles d’éleveurs ruraux. La filière présente des potentiels de croissance certains avec un cheptel important, un secteur de la transformation dynamique et des débouchés en forte augmentation du fait de la croissance démographique et de l’urbanisation. Cette filière lait local est cependant aux prises à de nombreuses difficultés internes qui limitent fortement son développement.
Ce document fait le bilan du projet de recherche-action Agora dédié au renforcement de la gouvernance de services publics dans des communes du Bénin, du Burkina Faso et du Mali. Mené par Cités Unies France, le Gret, le Laboratoire Citoyennetés et plusieurs partenaires locaux de 2011 à 2014, Agora a couplé des phases de recherche, d’animation et d’apprentissage à la concertation entre les opérateurs, élus, agents de services techniques et usagers. Il se caractérise par la participation effective d’une équipe de chercheurs au dispositif de concertation.
Les démarches de développement local sont assez standardisées : à partir d'un diagnostic territorial, on met en oeuvre un appui technique et financier aux organisations locales, pour la réalisation de projets dont elles assureront la gestion. Mais les organisations locales sont de nature variée, toutes n'ont pas forcément envie de gérer les équipements qu'elles demandent ; ceux-ci sont plus ou moins complexes à gérer et certains relèvent des prérogatives communales. Enfin, le diagnostic initial dépend de la logique d'ensemble de l'action.
Ce guide s’adresse aux professionnels du monde rural, et au-delà, aux professionnels du développement (ONG d’appui, groupements, organisations paysannes, etc.) qui mettent en place et animent des services d’information. Le rôle de l'information est déterminant dans la pratique professionnelle. Elle est nécessaire au renforcement des connaissances et des compétences des acteurs, comme aide à l'action, à l'innovation et à la résolution des problèmes. Pour cela, elle doit être opérationnelle, pratique et directement utilisable.
Ce guide est né d’une demande de paysans africains qui souhaitaient s’engager dans des pratiques agricoles plus respectueuses de leur environnement et plus durables. Il a été conçu comme un outil d’accompagnement destiné à tous les paysans et techniciens souhaitant développer l’agroécologie et l’agroforesterie en zone tropicale humide. Après un rapide rappel du contexte et des enjeux actuels de l’agroécologie, il fournit des informations techniques, issues de l’expérience de quatre « terrains » (République démocratique du Congo, Myanmar, Cambodge et Inde).
Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.