This Module is the third in a series of four that address capacity development competencies in FAO. It is intended to enhance FAO’s practices in designing, developing, delivering and evaluating its activities in support of learning in Member Countries, while ensuring that learning leads to sustainable capacity development.
In order to facilitate improved returns to research and development in African agriculture, the innovation systems approach which engenders the involvement of multiple stakeholders in its innovation pathway, has been proposed. Despite the potential of this approach, the understanding of its implementation and particularly of the process of setting up its multi-stakeholder platform is still largely lacking. Yet, this platform is critical to the success and sustainability of the operations of the platform.
This manual describes a number of tools that can be used in courses to facilitate the process of reflecting on the knowledge and experiences participants acquire, with the aim of making their leaning more explicit and articulated and contribute to their professional performance in their own working context.
Michael Kügler, from the Brussels Office of the EU-Platform of Chambers of Agriculture, presented the EU-Innovation Partnership (EIP),designed to support knowledge transfer, coop-eration, and collective investment, at the 3rd GFRAS Annual Meeting, "The Role of Rural Advisory Services in Agricultural Innovation Systems", 26-28 September 2012, Philippines. He referred to the need to pursue innovation in a cross-sectorial approach, interlinking existing initiatives, facilitating communication, providing value added through networking, and achieving syner-gies.
This document is intended to serve as a resource for assessing capacity needs in a project or programme. A capacity needs assessment (CNA) is a process for identifying a project’s perceptions (through staff, partners and stakeholders) on various capacity areas that impact the work they do. The process helps identify challenges and opportunities for enhancing key skills thereby enhancing the project’s ability to achieve its objectives. The overall goal of a CNA is to determine the gap between required and existing capacities.
Les « modèles d’entreprises inclusives » ont fait l’objet d’un regain d’intérêt ces dernières années, dans le cadre de débats plus généraux concernant l’accroissement des investissements agricoles dans les pays à faible revenu. Ce rapport se penche sur les coentreprises dans le secteur agricole sud-africain. L’expérience de l’Afrique du Sud présente des caractéristiques propres liées à son histoire et à son récent programme de réforme agraire. Les bénéficiaires de la réforme agraire se sont embarqués dans diverses coentreprises avec des partenaires commerciaux.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.
La production et la commercialisation de lait en Afrique de l’Ouest fait partie intégrante de l’économie et du mode de vie des familles d’éleveurs ruraux. La filière présente des potentiels de croissance certains avec un cheptel important, un secteur de la transformation dynamique et des débouchés en forte augmentation du fait de la croissance démographique et de l’urbanisation. Cette filière lait local est cependant aux prises à de nombreuses difficultés internes qui limitent fortement son développement.
Les conséquences sur les territoires des changements climatiques d’origine anthropique sont variables dans leurs expressions comme dans leurs effets, et les territoires sont inégaux face à ces variations climatiques en termes d’exposition aux effets (fonction de facteurs physiques, sociaux, économiques, culturels, politiques, etc.) comme en termes de capacité de réponse (capacité d’appréhension, d’anticipation, de réparation, etc.).