Se realizó el presente trabajo, con el objetivo de contribuir al incremento del fondo documental relacionado con la SPV en el cultivo del garbanzo. En noviembre del 2009 se sembraron 26 cultivares de garbanzo (21 foráneos y cinco nacionales) en áreas de la Cooperativa de Producción Agropecuaria (CPA) “Gilberto León” del municipio San Antonio de Los Baños en la provincia Artemisa.
Este artículo presenta una propuesta de marco teórico, conceptual y operativo (MaTCo) diseñado para documentar las experiencias de dichos actores y las estrategias de innovación tecnológica implementadas en el Nodo de Innovación (HUB) Trópico Bajo de Chiapas. Dicho marco incluye indicadores para conocer los principios, metodologías y herramientas utilizadas por cada actor estudiado. Para ello fue necesario construir e implementar el MaTCo, desde una perspectiva socio-agronómica holística y aplicarlo a cuatro estudios de caso de actores que colaboran con el programa.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
L’agroécologie s’inscrit dans le registre de l’écologie, qui s’intéresse aux interactions - et à leurs conséquences - entre l’homme et son milieu, en tentant de minimiser les effets négatifs de certaines des activités humaines. Elle vise la préservation de l’environnement, le renouvellement durable des ressources naturelles nécessaire à la production (eau, sol, biodiversité...) et l’économie d’utilisation des ressources non renouvelables.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
L’agriculture familiale est de loin la forme d’agriculture la plus répandue au monde, tant dans les pays développés que dans les pays en développement. Elle représente la principale source d’emplois dans le monde. C’est bien plus qu’une simple modalité de production alimentaire. C’est un mode de vie.
La plupart des personnes pauvres et qui souffrent de la faim, dans le monde, sont des ruraux qui tirent un maigre revenu de l’agriculture. En 2010, sur les 1,2 milliard de personnes extrêmement pauvres, quelque 900 millions vivait en milieu rural. Environ 750 millions de ces personnes travaillaient dans l’agriculture, généralement comme petits exploitants familiaux (Olinto et al., 2013). On estime que 200 millions de ruraux pauvres pourraient émigrer vers les villes ces 15 prochaines années, mais la plupart d’entre eux resteront toutefois à la campagne.
Del 1 al 4 de noviembre del 2016, expertos de varios países del hemisferio analizaron el papel de las mujeres rurales en el desarrollo y la sostenibilidad de la agricultura familiar, las políticas públicas diferenciadas para la agricultura familiar, el desarrollo rural en Centroamérica y la situación de la juventud rural en la región.
Les Champs-Ecoles des Producteurs (CEP) sont une approche d’apprentissage participatif utilisée dans de nombreux différents contextes à travers le monde. Un CEP rassemble un groupe d'agriculteurs, d'éleveurs ou de pêcheurs, dans le but d’apprendre à s'orienter vers des pratiques de production plus durables. C’est un espace d’apprentissage collectif et concret, qui permet aux populations locales d'améliorer leurs compétences en matière d'analyse critique et de prise de décisions.
En el presente trabajo se presenta un estudio de la implementación del Fitomejoramiento Participativo en Cuba, una metodología sustentada sobre la base de la experiencia adquirida por un grupo de investigadores, agricultores y técnicos. La propuesta presenta en materiales y métodos las cuatro fases fundamentales de este proceso: 1) Diagnóstico, 2) Colección de recursos fitogenéticos, 3) Establecimientos de parcelas demostrativas y desarrollo de ferias de diversidad y 4) Experimentación campesina.