Innovation system approach offers an holistic, multidisciplinary and comprehensive framework for analyzing innovation process, the roles of science and technology actors and their interactions, emphazing on wider stakeholder participation, linkages and institutional context of innovation and processes. This paper was aimed to: 1. review the concept of innovation system; 2. appraise the application to agriculture and its relevance and 3. analyze the policy implications for agricultural extension delivery in Nigeria.
To enhance integrated rainwater management in crop-livestock systems in the Volta basin of Burkina Faso, innovation platforms (IP) comprising of multiple stakeholders were established in the districts of Koubri and Ouahigouya. Quarterly IP meetings were organized to collectively identify and prioritize constraints and opportunities, and to design and implement strategies to address them. IP represents an example of putting the agricultural innovations systems’ perspective into practice.
This paper briefly analyse the genesis, development and change in public sector-led extension approaches in India showing its temporal pattern, emerging innovations in extension approaches and the way forward. It discusses decentralized, community based, pluralistic extension approaches and their opportunities as well as limitations in changing agricultural and natural resources scenario.
The aim of this study was to explore the interactions that exist among agricultural stakeholders in the southwestern highlands of Uganda as a way of identifying opportunities and gaps for operation of Innovation Platforms (IPs) under the proof of concept of Integrated Agricultural Research for Development (IAR4D) research project.
This is the proceedings of the international conference ‘Innovations in Organic Food System for Sustainable Production and Enhanced Ecosystem Services’. The proceedings are a compilation of peer-reviewed articles based on presentations of 18 speakers invited conference speakers and published as a Special Issue of the scientific journal ‘Sustainable Agriculture Research’ by the Canadian Centre of Science and Education.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
L’agroécologie s’inscrit dans le registre de l’écologie, qui s’intéresse aux interactions - et à leurs conséquences - entre l’homme et son milieu, en tentant de minimiser les effets négatifs de certaines des activités humaines. Elle vise la préservation de l’environnement, le renouvellement durable des ressources naturelles nécessaire à la production (eau, sol, biodiversité...) et l’économie d’utilisation des ressources non renouvelables.
Le secteur agricole est le premier employeur au niveau mondial et les actifs familiaux forment l'essentiel de cette force de travail. L'agriculture familiale produit plus de 70 % de la production alimentaire et gère une proportion considérable des ressources naturelles. Ce modèle d'agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux. La reconnaissance et le soutien aux agricultures familiales sont indispensables pour lutter contre la pauvreté et construire un développement durable.
L’agriculture familiale est de loin la forme d’agriculture la plus répandue au monde, tant dans les pays développés que dans les pays en développement. Elle représente la principale source d’emplois dans le monde. C’est bien plus qu’une simple modalité de production alimentaire. C’est un mode de vie.
La plupart des personnes pauvres et qui souffrent de la faim, dans le monde, sont des ruraux qui tirent un maigre revenu de l’agriculture. En 2010, sur les 1,2 milliard de personnes extrêmement pauvres, quelque 900 millions vivait en milieu rural. Environ 750 millions de ces personnes travaillaient dans l’agriculture, généralement comme petits exploitants familiaux (Olinto et al., 2013). On estime que 200 millions de ruraux pauvres pourraient émigrer vers les villes ces 15 prochaines années, mais la plupart d’entre eux resteront toutefois à la campagne.