Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
This paper draws lessons from selected country experiences of adaptation and innovation in pursuit of food security goals.
Small-scale farmers' experimental innovations have not generally been considered for on-farm research trials as those in the traditional sector have been perceived as recipients, rather than originators, of technical knowledge and sustainable and viable practices. Yet there is abundant evidence throughout the tropics that small-scale farmers are adaptive and experimental problem solvers, and experts at devising innovative survival strategies. While literature on the topic is rich with accounts from Africa, Asia and Latin America, there is a general dearth of examples from the Caribbean.
1. Many coastal communities depend on ecosystems for goods and services that contribute to human well-being. As long-standing interactions between people and nature are modified by global environmental change, dynamic and diversified livelihood strategies that enable seasonal adaptation will be critical for vulnerable coastal communities. However, the success of such strategies depends on a range of poorly understood influences. 2.
Farm input subsidies are often criticised on economic and ecological grounds. The promotion of natural resource management (NRM) technologies is widely seen as more sustainable to increase agricultural productivity and food security. Relatively little is known about how input subsidies affect farmers’ decisions to adopt NRM technologies. There are concerns of incompatibility, because NRM technologies are one strategy to reduce the use of external inputs in intensive production systems.
Research and the dissemination of evidence-based guidelines for best practice in crop production are fundamental for the protection of our crop yields against biotic and abiotic threats, and for meeting ambitious food production targets by 2050.
This book is the re-titled third edition of the widely used Agricultural Extension (van den Ban & Hawkins, 1988, 1996). Building on the previous editions,Communication for Rural Innovation maintains and adapts the insights and conceptual models of value today, while reflecting many new ideas, angles and modes of thinking concerning how agricultural extension is taught and carried through today.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.