L’action locale est aujourd’hui confrontée au problème de changements climatiques, tant en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre que de gestion des impacts potentiels. La question particulière de l’adaptation aux changements climatiques émerge ainsi progressivement sur la scène locale et semble se généraliser depuis les évolutions législatives (Loi « Grenelle II ») qui rendent obligatoire la réalisation de plans climat-énergie territoriaux pour les collectivités de grande taille et des schémas régionaux climat-air-énergie.
Les populations rurales sédentaires de la commune de Hombori (Mali) pratiquent presque toutes la culture de mil associée au petit élevage non transhumant. Au-delà des contraintes environnementales d’une région semi-aride, le maintien de l’agro-élevage repose sur une double maitrise, des territoires et des ressources, l’une et l’autre ne pouvant se confondre.
Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
L’agriculture de conservation (AC) obéit à trois principes : travail du sol minimal, couverture du sol permanente et multiculture. Partant de ses avantages avérés pour l’écologie du sol, la séquestration de carbone et son adoption massive dans quelques régions du monde, elle est présentée par ses promoteurs comme un système durable convenant à tous contextes. Dès lors elle a été mondialement diffusée au nom du développement durable.
The study describes the historic development of the Danish Agricultural Advisory Services (DAAS). This is the case of a national advisory system owned and managed by the farmer organizations and financed with public subsidies combined with farmer/user payments, gradually developed to full user payment. The links and relations between the empowerment of farmers and their organizations, their evolving roles in advisory systems, and the innovative financial mechanisms in extension, especially pull-mechanisms, are analyzed.
Rural advisory services (RAS) can play an important role in addressing gender inequalities. However, RAS programmes have often fallen short of expectations to design and implement relevant services to help rural women and men achieve food security and generate more income. This paper is based on an examination of a broad selection of existing literature on gender-sensitive RAS. It looks at gender-differentiated barriers in access to RAS and challenges of effectively targeting women family farmers when delivering these services.
Rural Advisory Services (RAS) are increasingly recognised as critical to agricultural and rural development. They provide rural communities with wide range of skills and knowledge and facilitate their interactions among the different actors to help them access support and services required for improving their livelihoods. Family Farmers are one of the important clients of RAS as they are the most predominant type of farmers worldwide.
This paper outlines key areas of intervention that are identified as the core of FAO's strategy on strengthening Agricultural Innovation Systems (AIS) across multiple areas of work (e.g. research and extension, agroecology, biotechnology, green jobs, resourcing etc.) for achieving sustainable rural development.
La FAO a adopté une approche multidimensionnelle pour aider les exploitants familiaux pauvres à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et renforcer leur capacité de création de revenus, afin de réduire la pauvreté rurale.
The publication is a part of the FAO work to assist the member countries in reforming their national Extension and Advisory Services (EAS). It highlights the main elements and provides concrete guidelines for the policy makers to make EAS demand-driven, i.e. responsive to diverse needs and demands of rural producers, including the most vulnerable groups, women and youth etc.