Farmers in Asia like to grow cassava because the crop will tolerate long dry periods and poor soils, and will produce reasonable yields with little inputs. Most farmers realize, however, that cassava production on slopes can cause severe erosion, while production without fertilizer inputs may lead to a decline in soil productivity. Research has shown that cassava yields can be maintained for many years with adequate application of fertilizers, and that there are various ways to reduce erosion.
Farmers in Asia like to grow cassava because the crop will tolerate long dry periods and poor soils, and will produce reasonable yields with little inputs. Most farmers realize, however, that cassava production on slopes can cause severe erosion, while production without fertilizer inputs may lead to a decline in soil productivity. Research has shown that cassava yields can be maintained for many years with adequate application of fertilizers, and that there are various ways to reduce erosion.
This booklet is the third in the CIAT in Asia Research for Development series. It was based on the experiences of researchers and farmers working with the AusAID-funded Forages for Smallholders Project (FSP) in Southeast Asia from 1995 to 1999. This project was a partnership of smallholder farmers, development workers and researchers who were using participatory approaches to developing forage technologies on farms.
The Feed the Future Asia Innovative Farmers Activity (AIFA) is a regional project transforming the lives of farmers by developing and supporting a regional technology ecosystem that fosters new technology, partnerships, and innovative practices in South and Southeast Asia with a focus on Bangladesh, Cambodia, and Nepal. The project aims to build a diverse regional agricultural innovation community that can test, adapt, and share the latest practices and technologies with smallholder farmers in the region.
La nouvelle édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie.
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.