Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Aujourd’hui, l’agriculture familiale fait preuve de dynamisme. Pour prouver qu’elle est un modèle à défendre, il faut convaincre les États de mener des politiques volontaristes et souveraines de rénovation de l’agriculture. Une politique efficace devra identifier les forces et les faiblesses de l’agriculture familiale, lutter contre l’accaparement des terres, encourager les jeunes paysans et les paysannes. Prendre en compte les différentes dimensions de l’agriculture familiale est nécessaire pour mener à une transformation efficace.
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
Aujourd’hui encore, les forêts restent un enjeu vital. Ceci alors que le développement accéléré de beaucoup de régions provoque une pression croissante sur les écosystèmes forestiers. Parc Yasuni en Equateur, parc national des Virunga en RDC, ou plus largement forêts tropicales au Brésil ou en Indonésie, on peut multiplier les exemples de conflits socio-environnementaux où la question de l’utilisation et de la propriété des ressources forestières est l’objet de luttes féroces entre populations indigènes, ONG environnementales, multinationales et gouvernements, etc.
Resulta esencial calibrar las máquinas con el fin de lograr densidades de siembra y tasas de fertilización óptimas. Los errores en la calibración, incluso los más leves, pueden provocar grandes diferencias en el campo. Con la calibración se asegura que no se aplique demasiada semilla o fertilizante (con lo cual se ahorra dinero y se protege el medio ambiente), pero tampoco cantidades insuficientes, lo cual puede producir una disminución en el rendimiento.
Este volante muestra cinco etapas para la modernizacion sustentable de la agricultura.
La presentación es dirigida a productores y grupos de personas, que realizan actividades agrícolas, pecuarias, acuícolas y pesqueras en zonas rurales y periurbanas. El documento da recomendaciones para facilitar el acceso de los productores familiares al acompañamiento técnico y trata de modelos de extensión con mayor impacto en el desarrollo de la Agricultura Familiar.
PESA focaliza sus acciones en “Apoyar a las Unidades de Producción Familiar en localidades rurales de alta y muy alta marginación, para incrementar los niveles de producción y productividad de sus actividades agropecuarias, acuícolas y pesqueras…”.
The Sourcebook is the outcome of joint planning, continued interest in gender and agriculture, and concerted efforts by the World Bank, FAO, and IFAD. The purpose of the Sourcebook is to act as a guide for practitioners and technical staff inaddressing gender issues and integrating gender-responsive actions in the design and implementation of agricultural projects and programs. It speaks not with gender specialists on how to improve their skills but rather reaches out to technical experts to guide them in thinking through how to integrate gender dimensions into their operations.
El presente documento fue elaborado en el Marco del Proyecto “Fortalecimiento de la gestión de recursos hídricos y sistemas de riego para productores de la agricultura familiar del Chaco de Paraguay, Argentina y Bolivia”, financiado con recursos del Fondo de Cooperación Técnica (FonCT) del IICA, incluye Fichas Descriptivas de seis aspectos tecnológicos (temáticos) que son de interés para efectos de difusión y transferencia tecnológica, en manejo de agua y riegos en la región del Chaco compartida por: Argentina, Bolivia y Paraguay.