Policy brief No. 2. The majority of the world’s poor are smallholder farmers in developing countries. These smallhol- ders face several obstacles that limit their produc- tivity and profits, such that their incomes remain low. Institutional changes in the agricultural value chains are required to reduce poverty rates among smallholder farmers, and to stimulate agricultural growth.
Farm workers in developing countries often belong to the poorest of the poor. They typically face low wages, informal working arrangements, and inadequate social protection. Written employment contracts with clearly defined rights and obligations could possibly help, but it is not clear how such contracts could be introduced and promoted in traditional peasant environments. To address this question, we develop and implement a randomized controlled trial with farmers in Côte d’Ivoire.
Enhancing the diversity of agricultural production systems is increasingly recognized as a potential
means to sustainably provide diversified food for rural communities in developing countries, hence
ensuring their nutritional security. However, empirical evidences connecting farm production
diversity and farm-households’ dietary diversity are scarce. Using comprehensive datasets of
market-oriented smallholder farm households from Indonesia and Kenya, and subsistence farmers
In the existing literature, the effects of contract farming on household welfare were examined with mixed results. Most studies looked at single contract types. This paper contributes to the literature by comparing two types of contracts – simple marketing contracts and resource- providing contracts – in the Ghanaian oil palm sector. We investigate the effects of both contracts on farm income, as well as spillovers on other household income sources. We use survey data collected with an innovative sampling design and a control function approach to address possible issues of endogeneity.
Le développement de l'agriculture organique au Brésil prend des formes multiples. Au travers de leur expérience de l'AO, dans une communauté proche de trois métropoles, de petits maraîchers d'Ibiúna (São Paulo) créent des entités collectives et expérimentent de nouvelles pratiques sociales.
La façon donc les organismes de recherche et d'appui aux agriculteurs participent aux processus de développement de l'agriculture et du monde rural fait l'objet de débats. Ceux-ci portent à la fois sur la compréhension des besoins réels des agriculteurs et sur les formes de coordination entre les différents acteurs de la production de connaissances traduisibles en actions. Nous proposons d'illustrer cette problématique à partir d'un programme de coopération franco-argentin Innovaciones, Desarrollo, Exploitationes Agropecuarias, Sociedad local (IDEAS), engagé en Argentine en 1995-1996.
Ce texte présente les premiers résultats d’une étude sur la contribution de groupes d’agriculteurs familiaux aux processus d’innovation dans trois municipes de la Paraíba (Brésil). L’objectif consistait à identifier le rôle des producteurs et de leurs organisations en matière d’introduction et d’adaptation de techniques agricoles.
De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.