Ce document présente la position de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et du Forum mondial pour le conseil rural (GFRAS) sur la place actuelle des services de vulgarisation et de conseil agricole et sur les chemins qu’elle devra suivre à l’avenir. Les résultats présentés dans le document sont destinés à mieux situer la vulgarisation compte tenu de l’avenir de la recherche agricole en faveur du développement.
Confrontés aux évolutions des enjeux et modèles de développement touchant les secteurs de l’agriculture et de l’alimentation, les organismes de recherche interrogent les méthodes d’évaluation des impacts liées aux activités de recherche. En effet les cadres méthodologiques conventionnels utilisés depuis les années 1950 ne répondent plus aux attentes sociétales et aux réalités de l’activité de recherche dans ce domaine.
La co-conception de systèmes agricoles innovants est une piste prometteuse pour répondre au défi de l’innovation, notamment pour les exploitations agricoles familiales africaines confrontées à de multiples changements. Mais il faut penser à la place et aux rôles tenus par de multiples acteurs (agriculteurs, conseillers, chercheurs) pour produire les changements souhaités par toutes les parties, et donc réfléchir à la question du partenariat dans le processus.
Le Tuy, province de l'Ouest du Burkina Faso est une région soudanienne à forte pression démographique et pastorale où se posent avec acuité des problèmes de fertilité des sols. Face à la dégradation des ressources naturelles, opter vivre dans son milieu natal et s'assurer une bonne production agropastorale nécessite de la part des acteurs des actions concertées. Le projet Fertipartenaires aide les producteurs de cette province à se concerter, à réfléchir à leurs problèmes, proposer et expérimenter des solutions et les évaluer afin d'améliorer leur sécurité alimentaire.
This publication is based on invited papers presented at the conference "Agricultural Biotechnology in Developing Countries: Towards Optimizing the Benefits for the Poor", held in November 1999 at the Center for Development Research (ZEF), University of Bonn. The conference was convened in collaboration with the International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA), Hoechst Schering AgrEvo GmbH (now Aventis CropScience) and the German Foundation for International Development (Deutsche Stiftung fUr internationale Entwicldung - DSE).
It is now widely acknowledged that biotechnology will have significant implications for development. While biotechnology’s potential for low income economies is still the subject of controversy, this paper argues that it is precisely in these countries that food and agriculture related biotechnology could efficiently contribute to the achievement of development objectives. To date, however, biotechnological advances have been realized predominantly in industrialized countries.
Innovations are fast changing the agricultural landscape driven by the increasing need to shift towards sustainable practices without sacrificing the productivity and profitability of farming. Innovations in technology, institutions, processes, and products have contributed to the growth of agriculture, globally and in developing countries including India and Africa, as observed in the cases of green revolution in cereals; and gene revolution in cotton.
To achieve food security for all, new resource policies for sustainable land and water use are needed. Land, water and energy need to be considered jointly in policies, not in isolation.
En esta publicación se presenta una visión general de las oportunidades y las dificultades actuales de las iniciativas encaminadas a aumentar los efectos de la extensión agraria y rural. El punto de partida para este análisis reside en el reconocimiento de que se ha superado la visión de la extensión agraria como sinónimo de la labor de los organismos del sector público.